Concert grande voix du Mozambique : ASSA MATUSSE

Dotée d’une voix unique et mélodique, Assa Matusse a été influencé par les Mozambicains, les Africains et les rythmes du monde dès son plus jeune âge. Son premier album, « + EU », sort en 2017 et lui permet de s’imposer sur le marché de la musique mozambicaine. Actuellement en plein enregistrement de son deuxième album à Paris, Assa Matusse poursuit son chemin entre fusion et world. Dimanche 02 Février 2025 11h00 ASSA MATUSSE Dans le cadre du festival FESTIVAL AU FIL DES VOIX A PARIS
Global Game Jam à l’Institut Français de Maurice

L’Institut Français de Maurice invite artistes, programmeurs et musiciens à participer à la 4ème édition de la Global Game Jam, du 24 au 26 janvier. Les horaires sont de 9h à 21h, avec café et snacks. Les participants peuvent utiliser des ordinateurs fournis, mais sont encouragés à apporter leurs propres appareils. Des mentors aideront à la formation d’équipes et à l’apprentissage de la programmation. Moments clés de l’événement : Vendredi : keynote et révélation du thème à midi, création d’équipes à 14h. Dimanche : mise en ligne des projets à 15h et présentation des jeux à 16h, avec un prix pour le coup de cœur du jury. L’événement est centré sur le plaisir, la rencontre et l’apprentissage, même pour les débutants. Prêt pour un moment magique ! Plus d’information sur www.institutfrancais.mu/fr/evenements/activites/global-game-jam
Le Passage Brady : une invitation au voyage dans l’Océan Indien

Au passage Brady, votre pause gourmande sera épicée, colorée, exotique. Dans les années 80, les restaurateurs indiens se sont installés dans la galerie, attirant plus tard d’autres cuisines du monde. En quelques mètres, vous pouvez apprécier les spécialités indiennes, pakistanaises, mauriciennes et même réunionnaises. Dans ce Little India, surnom du passage, tout vous invite à un voyage sensoriel inédit : les devantures chamarrées où dominent le rose, le rouge, le jaune ; les senteurs inhabituelles à Paris, chargées d’épices ; les assiettes aux arômes orientaux, dont les noms évoquent des horizons lointains. À des prix très raisonnables, régalez-vous d’un dhal de lentilles, de poulet Biryani accompagné d’un naan au fromage. Le rougail de poisson mauricien ou les samoussas réunionnais combleront aussi vos papilles. Accès et contacts 46 rue du Faubourg Saint-Denis 75010 Paris 10ème Métro : Château d’EauBus : 20, 32, 38, 39 Plus d’infos : https://www.visitparisregion.com/fr/passage-brady
Le concours photo « Monuments de beauté de l’océan Indien »

Autour d’un travail de mémoire et d’histoire et d’éducation à l’image, il est proposé aux élèves de 11 à 15 ans, de La Réunion, Madagascar, Maurice, Mayotte, des Comores, des Seychelles et du Mozambique, de réaliser collectivement* une production photographique d’un monument remarquable de leur territoire et de l’accompagner d’une note de présentation au format et au contenu libres. Les élèves (groupe de 2 à 10 participants), et leur professeur référent ont entre le 2 janvier et le 30 avril 2025 pour s’inscrire et faire parvenir leur contribution par mail, à concoursihoi@gmail.com. Porté par l’Iconothèque Historique de l’Océan Indien et engagé sous le patronage de l’Académie de La Réunion et de la Commission de l’Océan Indien (COI), ce concours est cofinancé par l’Union européenne. Depuis sa création, l’IHOI œuvre à mettre en réseau les patrimoines iconographiques en numérisant les images des bibliothèques, musées et archives, et en les rendant accessibles en ligne et sur des supports numériques. Les photos doivent être envoyées par fichier numérique y compris dans le cas où la photo a été prise avec un appareil argentique ou un polaroïd.
Partez à la découverte des Indes avec Augustin au Lucernaire

Un voyage instructif, tonitruant, festif, interactif, plein d’invention et de bonne humeur. Du mercredi 5 mars au dimanche 27 juillet 2025 Comme plus de 100 000 moussaillons avant vous, débusquez en famille, le trésor d’épices du Maharadja de Pondichéry !Augustin et son équipage (les enfants du public) vont traverser l’océan Indien à dos de baleine à bosse, parcourir la jungle javanaise en compagnie d’orangs outans affectueux, et entrer par effraction dans un palais de bonbons…Évitant les tigres féroces et les perroquets bavards, notre fier équipage retrouvera-t-il les épices de la Princesse Daria ? Le public pourra les sentir en direct grâce à d’ingénieux drapeaux parfumés ! https://www.paris.fr/evenements/partez-a-la-decouverte-des-indes-avec-augustin-au-lucernaire-77839
Le street art indien : les clichés d’Aradhana Seth, photographe indienne

Dernier jour! Concept store unique ouvert en 2022 au centre de la capitale française, Deeya Paris souhaite valoriser la culture indienne. Vendant des tenues s’inspirant du style et des décors traditionnels indiens, l’objectif de la marque reste avant tout de promouvoir l’artisanat du pays tout en proposant des produits chics. Deeya Paris est aussi synonyme d’expositions. Dans sa dernière, nommée « Les signes peints à la main des rues de l’Inde », elle met en lumière des beaux clichés sur le thème du street art indien. Plus d’infos : https://www.en-vols.com/inspirations/culture/deeya-paris-exposition-inde/#item=6
La mission Dakar-Djibouti révisée : exposition au musée du quai Branly

L’exposition explore des perspectives inédites sur l’histoire coloniale à travers des recherches récentes, en s’intéressant à l’une des missions ethnographiques les plus marquantes des années 1930. Entre 1931 et 1933, la « Mission ethnographique et linguistique Dakar-Djibouti » a parcouru seize pays africains sous la direction de Marcel Griaule, un éminent ethnologue français. Cette expédition a introduit de nouvelles approches dans les méthodes d’enquête et de collecte ethnographique. À son terme, elle avait réuni une impressionnante collection comprenant plus de 3 000 objets, 6 000 spécimens naturels, des milliers de photographies, 300 manuscrits, environ 50 restes humains, une vingtaine d’enregistrements audio, ainsi que plus de 10 000 notes issues d’observations et d’entretiens. Cette mission a également fait l’objet d’une large attention médiatique grâce à la publication de L’Afrique fantôme, le journal personnel de Michel Leiris, secrétaire de l’expédition. Cet ouvrage dévoile les dynamiques complexes entre colonisés et colonisateurs, ainsi que les conditions parfois discutables dans lesquelles les enquêtes et les collectes ont été réalisées. À travers des objets, des photographies et des archives, l’exposition propose une relecture critique des événements documentés, enrichie par le travail de recherche mené par une équipe pluridisciplinaire composée de chercheurs africains et français. Ces investigations contemporaines mettent en lumière les conditions dans lesquelles ces patrimoines ont été acquis et collectés, tout en rendant hommage aux histoires souvent oubliées des hommes et des femmes liés à ces objets. Une plongée dans le passé qui invite à réfléchir sur le contexte colonial et ses répercussions culturelles et humaines. Date: 15 avril 2025 au 14 septembre 2025 Adresse: 37 Quai Jacques Chirac, 75007 Paris Billet d’entrée au muséePlein tarif : 14,00 €Tarif réduit : 11,00 €
ABORIGENE GALERIE – Nicolas ANDRIN

Nicolas ANDRIN spécialiste de l’art aborigène d’exception a constitué une exceptionnelle collection d’œuvres d’art, au fil de nombreux voyages dans les différentes communautés aborigènes. Nicolas ANDRIN a noué des relations privilégiées avec les plus grands artistes, qui l’ont initiés aux croyances de leur peuple ainsi qu’au langage des signes magiques et sacrés de leurs œuvres. Expert international, commissaires d’expositions, il a participé à une dizaine d’ouvrages, à des films et à l’organisation de nombreuses expositions en France, comme en Belgique, en Allemagne et en Suisse… Plus d’infos sur la galerie : https://www.aborigene.fr/
Le combat entre les démons Sunda et Upasunda

Œuvre exposée actuellement au Musée Guimet – Place d’Iéna Il s’agit d’un épisode du Mahabharata, la grande épopée indienne, dont Vishnu sous les traits de Krishna, est l’un des héros. De part et d’autre d’un arbre de forme ogivale, les deux asura (démons) Sunda et Upasunda se disputent la possession de l’apsara Tilottama créée par les dieux pour engendrer la guerre entre les deux frères et rétablir la paix sur terre. Ce conflit se déroule sous le regard d’ascètes. Les images en relief, très vivantes, s’opposent dans l’art khmer aux statues de culte plus hiératiques et impersonnelles. L’exactitude dans le rendu de la nature, la perfection de l’exécution, l’imagination, mêlant de gracieuses figures aux décors végétaux luxuriants, définissent le style de Banteay Srei. Il s’agit ici des premières scènes narratives bien conservées qui infléchiront l’ornementation des monuments khmers. Plus d’information et visite : https://www.guimet.fr/fr/nos-collections/asie-du-sud-est/le-combat-entre-les-demons-sunda-et-upasunda
Les Mamlouks et l’Océan Indien, de la mer Rouge à la Chine

Le 30 Janvier À la lumière des résultats des recherches archéologiques menées par Stéphane Pradines et ses équipes, la conférence mettra en évidence les modes de diffusion des objets, des personnes et des idées dans l’océan Indien au cours de la période médiévale, ainsi que le rôle de l’Islam dans la construction des grands réseaux internationaux. Pour information : Les mamelouks sont les membres d’une milice formée d’esclaves affranchis, d’origine non musulmane, au service de différents souverains musulmans, milice qui a occupé le pouvoir2 à de nombreuses reprises. S’inscrire à la conférence , c’est ici : https://ticket.louvre.fr/theme-vision/329