Gamelan et danses de Java et Bali à Paris

Le gamelan est une pratique musicale qui est ouverte à tous les publics: amateurs, musiciens confirmés ou non, enfants. L’apprentissage de cet instrument se fait par transmission orale. Il faut être minimum une quinzaine de personne pour pouvoir constituer un ensemble de gamelan. La compagnie développe également de petites formes contemporaines en s’inspirant du gamelan et des traditions de danses et de marionnettes en lien avec cette pratique. La Compagnie Pantcha Indra développe les arts et la culture indonésienne sous forme scénique, à la fois traditionnelle et contemporaine. Les différents ensembles de gamelan de Pantcha Indra sont une référence en Europe. Ils ont déjà eu l’occasion de jouer dans des lieux prestigieux tels que: La Philharmonie de Paris, Le musée Guimet, le musée du quai Branly, le théâtre du Chatelet, Le TJP de Strasbourg, la Cité de la musique, l’Institut des Cultures d’Islam de Paris, la Maison de la musique (Nanterre), festival de Chinon, le Musée des Arts asiatiques (Nice), les Conservatoires de Gennevilliers, de Créteil, de Cergy Pontoise… Les infos sur les prochains spectacles : https://www.pantchaindra.com/
Festival international d’improvisation théâtrale de la Réunion

Le FERIIR, le festival annuel organisé par la Ligue d’Improvisation Réunionnaise revient en force. Les comédiens de La Réunion accueillent des professionnels du monde entier pour offrir au public des spectacles inédits. Au programme, des classiques, avec l’incontournable match d’improvisation, mais aussi des créations originales, drôles et poétiques… Une occasion de découvrir le théâtre d’improvisation sous toutes ses formes. Plus de 24 spectacles seront joués, et des stands de nourriture et un bar seront proposés dans le village du festival, rue Eugène Dayot à St Paul.
Récital de Kathak – Danse indienne

La Femme en rouge Tout comme le soleil, qui plonge sous l’horizon et nous engloutit dans une étreinte cramoisie, la dame en rouge se tient là avec un regard magnétique sur elle. Elle est audacieuse, belle, inarrêtable et incarne une énergie ardente. Son aura magique arrête le temps et fait en sorte qu’à la minute où elle marche dans sa robe rouge, tous les yeux sont toujours rivés sur elle. Une prestation à ne pas manquer pour appréhender Le kathak , la forme de danse classique dominante dans le Nord de l’Inde. Le mot kathak dérive du mot « katha », l’art de raconter une histoire. Une seule représentation au Théâtre Mandapa 6 Rue Wurtz, Paris 13e Le vendredi 14 février 2025De 20 h 30 à 21 h 45 Mieux connaitre la danse Indienne, petite introduction : Le Kathak :Danse indienne classique d’influence moghol (perse), le Kathak évolue avec le temps contrairement aux autres danses qui se doivent gardiennes immuables de la tradition. Il allie la maîtrise des tours, le raffinement du geste et le mime dansé. Ses frappes de pieds reproduisent les sons et les rythmes des tablas à la perfection. L’Odissi :Danse dévotionnelle narrative de l’Orissa, l’Odissi se pratiquait uniquement dans les temples jusqu’au début du 20 ème siècle. Les danseuses vivaient dans leurs enceintes et dédiaient leur vie aux dieux Krishna car la danse faisait partie intégrante du culte de Jagarnath. Très fidèle aux traditions chorégraphiques du Natyashastra, cette danse sculpte le corps à la manière des statuts hindoues : ses mouvements compliqués sont le support de l’émotion et de l’expression.
Le violon indien : le violon qui parle la langue de l’Inde

« La musique indienne est une nouvelle prise de conscience qui vient aux personnes qui cherchent paix ou tranquillité dans leur vie. » (Anonyme) « Quant le violon parle la langue de l’ Inde , on sent d’autres dimensions dans la musique .La musique indienne est toujours originale avec n’ importe quel instrument . Même le violon qui est une création occidentale donne une sensation unique .Le secret de la musique est dans les doigts et aussi dans la composition des phrases musicales .L’ instrument n’est qu’ un moyen pour transmettre les images de l’artiste . » Aujourd’hui nous présentons Violette Soni qui s’impose comme une des rares artistes maitrisant la technique du violon hindoustani : basée à Lille en France, Violette continue sa pratique. Elle fait partie du Trio Hindustani Lille. Son immersion profonde dans la culture et la langue indiennes lui donne un avantage considérable pour comprendre la musique indienne et lui a permis d’acquérir une sonorité complètement indienne. https://violettesoni.com
Théâtre d’ombres de Java au quai Branly

Partez pour l’Asie, à la découverte de l’incroyable diversité des petits théâtres d’objets composés d’ombres chinoises, de pantins articulés, de papiers découpés !!!… Le musée du Quai Branly à Paris nous plonge dans la culture traditionnelle indonésienne à travers la petite exposition « Wayang Kulit, théâtre d’ombres de Java et Bali ». A voir jusqu’au dimanche 23 mars 2025, cette installation nous fait découvrir le théâtre d’ombres ‘wayang kulit’, décrit comme un spectacle-performance, et considéré comme un art à la fois populaire et intemporel. Le théâtre d’ombres wayang kulit est un spectacleperformance qui va bien au-delà du simple divertissement. Né sur l’île de Java il y a plus de 1 ooo ans, cet art de cour ritualisé a une importance particulière dans la culture traditionnelle indonésienne. S’il puise ses sources dans les épopées indiennes légendaires du Mahabharata et du Ramayana, son répertoire évolue au fil des siècles à la lumière des mutations de la société et de la réalité contemporaine.
Regard sur la peinture malgache : transmettre la beauté naturelle

Notre attention est attirée par Pascale Coutoux : Son travail artistique est principalement figuratif et s’inspire de la nature sous toutes ses formes. Les fleurs, les paysages et les animaux sont ses sujets de prédilection.Elle peint d’ailleurs souvent sur le motif pour être au plus près de ses sujets et de ses sensations. À travers ses œuvres, Pascale cherche à transmettre cette beauté naturelle et à apporter une touche d’émerveillement dans la vie quotidienne des citadins, souvent pris dans l’urbanité et déconnectés de leurs racines. Elle croit fermement que l’art permet de renouer avec la nature et de retrouver cette connexion perdue. Son site Internet nous ravit : on y trouve une très grande variété d’oeuvres personnelles , mais aussi d’autres artistes qui ont participé à des expositions conjointes
La Veena instrument de musique carnatique ancestral

La Veena est un instrument de musique carnatique très ancien du sud de l’Inde. Veena est un mot sanskrit générique – « Vanyathe iti veena » – un instrument à cordes pincées ou thathavadya ou cordophone. Ses origines se trouvent dans le Rigveda et l’Atharva Veda où un instrument à cordes appelé « Vana » est mentionné qui aurait évolué en « Veena ». Le corps humain est comparé à la Veena. Le sage Narada aurait joué d’une Veena appelée Mahathi. La déesse Saraswathi qui joue de la Veena « Kachchapi » est vénérée comme la mère de cet instrument. Les écritures anciennes, y compris le Natya shastra de Bharata, décrivent plusieurs types de Veena – Rudra Veena, Saraswathi Veena, Vichitra Veena, Chitra Veena, Sitar, Pinaki Veena, Eka-Tantri, dwi-Tantri, shathatantri-veena. Ravana est censé être un expert en Veena. La Veena jouée de nos jours est la « Saraswathi veena ». L’association culturelle Nadasurabhi, située à Koramangala, à Bangalore, est à l’avant-garde de la promotion de la musique carnatique classique. Nadasurabhi organise des concerts de musique de la plus haute qualité chaque mois et un festival annuel d’une semaine en novembre, gratuit pour tous les rasikas. Nos autres événements comprennent un festival pour les jeunes, Thyagaraja et Purandaradasa Aradhana, ainsi que des concours de musique pour les enfants.
TRANSIT : expo photo inédite à découvrir à La Maison de l’Indonésie

Si vous êtes en France ou que vous y séjournez prochainement, ne manquez pas l’exposition TRANSIT. Elle se tiendra à la Maison de l’Indonésie, à Paris, du 16 novembre 2024 au 19 janvier 2025. Une exposition photographique unique en son genre. Cette exposition propose aux visiteurs une immersion visuelle au croisement de plusieurs cultures, explorant les thématiques de la migration, du déplacement et de l’évolution des identités. À travers les œuvres d’artistes émergents et confirmés, TRANSIT met en lumière des parcours souvent invisibles et des histoires personnelles riches en émotions.
Les aborigènes reliés par le temps du rêve

Le temps du rêve , aussi appelé le rêve , est le thème central de la culture du peuple autochtone des aborigènes d’Australie. Le temps mythique du « temps du rêve » explique les origines de leur monde, de l’Australie et de ses habitants. On dit que les Anciens, qui étaient sortis du sol, ont traversé des terres stériles, de même que leurs descendants, les hommes, nomades, ont traversé leur vaste pays. Le paysage est modelé par les Ancêtres qui voyagent, chassent, campent, s’aiment, se battent, parfois s’entredévorent et se violent, ressuscitent… Au cours de chaque voyage, ils passent la nuit en rêvant des aventures et des épisodes du lendemain. C’est ainsi que, grâce à leur force mentale, ils engendrent le monde sensible : les éléments naturels, les animaux, les plantes, les étoiles, la lune, le soleil… Tout se déroule en même temps et chaque élément peut évoluer vers un autre. Une plante peut se métamorphoser en animal, un animal en paysage et, ce dernier, en homme ou en femme…. Dans le Nord-Ouest, les plateaux de Kimberley abritent une réserve exceptionnelle de peintures rupestres à l’extérieur des rochers et dans les grottes.
Reunion Island, the SAKIDI Company takes you on a journey beyond borders

La compagnie SAKIDI, fondée en 2005 à La Réunion par trois artistes visionnaires, Lolita TERGEMINA, Didier IBAO et Karen DARDELIN, tire son nom de l’expression créole signifiant « Ce qui est dit ». Une invitation à faire résonner le théâtre de répertoire au sein de l’île, embrassant sa culture et sa langue. Ce collectif a suscité un engouement parmi les comédiens et comédiennes en quête d’exploration, confrontant leurs talents au public et à eux-mêmes. Aujourd’hui, la compagnie SAKIDI revendique fièrement son identité culturelle et artistique à travers ses créations. Au fil des années, les chemins des trois complices se sont séparés pour suivre leurs propres voies. La direction artistique est restée entre les mains de Lolita TERGEMINA, qui a ajouté une dimension personnelle en adaptant et en mettant elle-même en scène les spectacles, à partir de 2012. Connaître plus : https://compagniesakidi.re/histoire/