FE BOUGE L’OCEAN INDIEN

Le vendredi 9 mai 2025, l’océan Indien sera mis à l’honneur au Dôme de Paris pour plus de 4 h de concert. À noter pour ce concert exceptionnel, la présence de nombreux artistes/groupes de prestige tels que Léa Churros, Barth, Kalipsxau, Tii Alexandre, Aina Quach, Fenoamby, Sega’el, Donovan bts, Pamela K, Bigg Frankii et bien d’autres encore. FÉ BOUGE L’OCÉAN INDIEN est le rendez-vous incontournable pour tous les amoureux de la musique de l’océan Indien ! Prenez vos places ici: https://www.ledomedeparis.com/fr/spectacle/255/fe-bouge-locean-indien
Festival international d’improvisation théâtrale de la Réunion

Le FERIIR, le festival annuel organisé par la Ligue d’Improvisation Réunionnaise revient en force. Les comédiens de La Réunion accueillent des professionnels du monde entier pour offrir au public des spectacles inédits. Au programme, des classiques, avec l’incontournable match d’improvisation, mais aussi des créations originales, drôles et poétiques… Une occasion de découvrir le théâtre d’improvisation sous toutes ses formes. Plus de 24 spectacles seront joués, et des stands de nourriture et un bar seront proposés dans le village du festival, rue Eugène Dayot à St Paul.
Récital de Kathak – Danse indienne

La Femme en rouge Tout comme le soleil, qui plonge sous l’horizon et nous engloutit dans une étreinte cramoisie, la dame en rouge se tient là avec un regard magnétique sur elle. Elle est audacieuse, belle, inarrêtable et incarne une énergie ardente. Son aura magique arrête le temps et fait en sorte qu’à la minute où elle marche dans sa robe rouge, tous les yeux sont toujours rivés sur elle. Une prestation à ne pas manquer pour appréhender Le kathak , la forme de danse classique dominante dans le Nord de l’Inde. Le mot kathak dérive du mot « katha », l’art de raconter une histoire. Une seule représentation au Théâtre Mandapa 6 Rue Wurtz, Paris 13e Le vendredi 14 février 2025De 20 h 30 à 21 h 45 Mieux connaitre la danse Indienne, petite introduction : Le Kathak :Danse indienne classique d’influence moghol (perse), le Kathak évolue avec le temps contrairement aux autres danses qui se doivent gardiennes immuables de la tradition. Il allie la maîtrise des tours, le raffinement du geste et le mime dansé. Ses frappes de pieds reproduisent les sons et les rythmes des tablas à la perfection. L’Odissi :Danse dévotionnelle narrative de l’Orissa, l’Odissi se pratiquait uniquement dans les temples jusqu’au début du 20 ème siècle. Les danseuses vivaient dans leurs enceintes et dédiaient leur vie aux dieux Krishna car la danse faisait partie intégrante du culte de Jagarnath. Très fidèle aux traditions chorégraphiques du Natyashastra, cette danse sculpte le corps à la manière des statuts hindoues : ses mouvements compliqués sont le support de l’émotion et de l’expression.
Le prix Indianocéanie 2025

Cette initiative littéraire, lancée en 2018, est le fruit d’un partenariat de la COI avec le Conseil départemental de La Réunion et l’Organisation internationale de la Francophonie. Le prix Indianocéanie est un appel à écrire des textes en français, sans genre imposé, portant sur des questionnements contemporains propres à la région Indianocéanie. Ce prix récompense une œuvre littéraire originale et jamais éditée, inspirée de cet espace géographique, culturel, linguistique commun, en tant que socle de référence partagé, lieu de réinvention du monde. Vous pouvez vous inscrire si vous avez plus de 18 ans et résidez dans les îles de l’Indianocéanie : l’Union des Comores, La Réunion, Madagascar, Maurice et les Seychelles. https://www.commissionoceanindien.org/prix-indianoceanie-2024-2025
L’Africa Institut donne la parole aux récits de l’océan Indien

L’Africa Institute (TAI) de la Global Studies University (GSU) de Sharjah a conclu son symposium intitulé Intertwined Ecologies and Interconnected Histories . Il a marqué la fin de la série « Thinking the Archipelago: Africa’s Indian Ocean islands », une initiative qui explore les liens écologiques, culturels et économiques dans la région de l’océan Indien. Le dernier symposium faisait partie d’une série organisée par les éminents chercheurs Jeremy Prestholdt, professeur d’histoire à l’université de Californie à San Diego, Rogaia Mustafa Abusharaf, professeur d’anthropologie à l’université de Georgetown au Qatar, et Uday Chandra, professeur adjoint de gouvernement à l’université de Georgetown au Qatar. Plus d’infos sur : https://www.gulftoday.ae/lifestyle/2024/12/11/the-africa-institute-gives-voice-to-indian-ocean-narratives-in-forum
La Réunion : Les letchis de Saint-Benoit , un régal!

Alors que l’hiver s’installe en Europe en décembre, La Réunion commence sa saison estivale. Les températures sont d’environ 30°C et le climat tropical donne à l’île une couleur verte et animée. Il est temps de sortir des manteaux et de savourer les plages de sable blanc, les rivières, les cascades ou encore les randonnées au cœur des cirques de l’île! Décembre est également le mois où commence la saison des fruits exotiques tels que les mangues, et les letchis ! Le letchi de Saint-Benoît, plus connu sous le nom de « litchi » en métropole , est un petit fruit de forme ronde ou ovale et de couleur rouge vif à pourpre lorsqu’il est mûr. Sa peau, à la fois fine et coriace, est rugueuse au toucher telle une véritable carapace avec ses reliefs en pointes. A l’intérieur, on découvre une chaire blanche translucide, parfumée, juteuse et sucrée. Au milieu, un noyau non comestible dont la taille varie d’un letchi à l’autre.Qu’il soit petit ou prédominant, le noyau est depuis des générations utilisé par les enfants qui confectionnent des toupies en introduisant une allumette au milieu ! De nombreuses informations complémentaires sur le letchi de Saint Benoit sont disponibles sur le site https://www.reunionest.fr/preparez-votre-sejour/les-produits-du-terroir/le-letchi-de-saint-benoit/
Le violon indien : le violon qui parle la langue de l’Inde

« La musique indienne est une nouvelle prise de conscience qui vient aux personnes qui cherchent paix ou tranquillité dans leur vie. » (Anonyme) « Quant le violon parle la langue de l’ Inde , on sent d’autres dimensions dans la musique .La musique indienne est toujours originale avec n’ importe quel instrument . Même le violon qui est une création occidentale donne une sensation unique .Le secret de la musique est dans les doigts et aussi dans la composition des phrases musicales .L’ instrument n’est qu’ un moyen pour transmettre les images de l’artiste . » Aujourd’hui nous présentons Violette Soni qui s’impose comme une des rares artistes maitrisant la technique du violon hindoustani : basée à Lille en France, Violette continue sa pratique. Elle fait partie du Trio Hindustani Lille. Son immersion profonde dans la culture et la langue indiennes lui donne un avantage considérable pour comprendre la musique indienne et lui a permis d’acquérir une sonorité complètement indienne. https://violettesoni.com
Théâtre d’ombres de Java au quai Branly

Partez pour l’Asie, à la découverte de l’incroyable diversité des petits théâtres d’objets composés d’ombres chinoises, de pantins articulés, de papiers découpés !!!… Le musée du Quai Branly à Paris nous plonge dans la culture traditionnelle indonésienne à travers la petite exposition « Wayang Kulit, théâtre d’ombres de Java et Bali ». A voir jusqu’au dimanche 23 mars 2025, cette installation nous fait découvrir le théâtre d’ombres ‘wayang kulit’, décrit comme un spectacle-performance, et considéré comme un art à la fois populaire et intemporel. Le théâtre d’ombres wayang kulit est un spectacleperformance qui va bien au-delà du simple divertissement. Né sur l’île de Java il y a plus de 1 ooo ans, cet art de cour ritualisé a une importance particulière dans la culture traditionnelle indonésienne. S’il puise ses sources dans les épopées indiennes légendaires du Mahabharata et du Ramayana, son répertoire évolue au fil des siècles à la lumière des mutations de la société et de la réalité contemporaine.
Regard sur la peinture malgache : transmettre la beauté naturelle

Notre attention est attirée par Pascale Coutoux : Son travail artistique est principalement figuratif et s’inspire de la nature sous toutes ses formes. Les fleurs, les paysages et les animaux sont ses sujets de prédilection.Elle peint d’ailleurs souvent sur le motif pour être au plus près de ses sujets et de ses sensations. À travers ses œuvres, Pascale cherche à transmettre cette beauté naturelle et à apporter une touche d’émerveillement dans la vie quotidienne des citadins, souvent pris dans l’urbanité et déconnectés de leurs racines. Elle croit fermement que l’art permet de renouer avec la nature et de retrouver cette connexion perdue. Son site Internet nous ravit : on y trouve une très grande variété d’oeuvres personnelles , mais aussi d’autres artistes qui ont participé à des expositions conjointes
La découpe du bois : un artisanat séculaire balinais

La pratique du découpage en bois est une coutume balinaise. En général, les thèmes associés aux statues confectionnées sont liées à la religion mais il existe bien d’autres réalisations . Les habitants de Bali sont démunis, mais le tourisme leur permet de subsister. La recherche sur l’utilisation du bois est l’une des préoccupations pour la jeunesse indonésienne et les femmes.Les Balinais sont de véritables artistes, ils ont de l’or dans le mains ! Les balinais utilisent surtout des bois locaux comme le Panggal Buaya (bois de crocrodile) destiné surtout pour les statues, le bois d’hibiscus, de santal, et d’ébène.