TOURISMER-ASSO

A la rencontre des communautés autochtones au Quai de la Photo

Photographe passionné, Franck Desplanques parcourt le monde depuis plus de trente ans à la rencontre decommunautés rares ayant gardé une forte identité culturelle et une relation étroite avec la nature.Leur liberté, leurs connaissances, leur courage, sont des sources d’inspiration inépuisables pour nous tous.C’est à travers une odyssée visuelle réunissant une centaine de photographies que Franck Desplanquescherche à dépasser les critères de la photographie documentaire classique pour offrir une autre visionde ces communautés. Franck Desplanques nous propose une véritable immersion dans leur quotidien et leur mode de pensée. Son travail à la fois documentaire et artistique, nous invite à élargir notre regard et à penser le monde avec plus d’humanité. Ne manquez pas ces photos sur l’Indonésie! Plus d’infos : https://quaidelaphoto.fr/wp-content/uploads/2024/12/DP-FRANCKDESPLANQUES-1.pdf Jusqu’au 28/02

Galerie Clémentine de la Féronière : Grain of Light

L’artiste japonais Mikiya Takimoto a réalisé des photographies saisissantes de la mer prise depuis le sommet d’une falaise en Indonésie ! Remarquable de justesse, à voir absolument! Jusqu’au 15 Mars 2025 https://www.galerieclementinedelaferonniere.fr/exhibitions/53/works/artworks-441-mikiya-takimoto-grain-of-light-06-2013

The Kebaya: Elegance and Cultural Heritage in Southeast Asia

La kebaya est une blouse traditionnelle dont les origines remontent à l’Empire Majapahit en Indonésie. Elle est portée par les femmes en Indonésie, Brunei, Malaisie et par les Malais de Singapour, généralement associée à un kain en batik, un sarong ou un songket, reflétant ainsi le riche patrimoine textile de la région. Au fil du temps, la kebaya est devenue bien plus qu’un simple vêtement : elle symbolise l’élégance, la grâce et l’identité culturelle des femmes d’Asie du Sud-Est. Chaque pays et communauté a su adapter la kebaya à ses traditions locales, en variant les tissus, les broderies et les motifs pour refléter son propre héritage. Portée lors d’événements officiels, de cérémonies traditionnelles ou même dans la vie quotidienne, elle reste un élément incontournable du patrimoine vestimentaire de la région. Aujourd’hui, la kebaya fait l’objet de campagnes de reconnaissance auprès de l’UNESCO pour être inscrite au patrimoine culturel immatériel, affirmant ainsi son importance historique et culturelle. Alliant tradition et modernité, la kebaya continue d’évoluer, inspirant les créateurs de mode tout en préservant son essence authentique. Elle demeure un témoignage vivant du savoir-faire artisanal et de l’héritage multiculturel de l’Asie du Sud-Est.

Troubadour comorien : Ben Nodji ‘Toujours là’ au Connétable

Notre troubadour comorien a pour citation favorite « Vivre c’est aimer » de l’écrivain Paul Valery. L’amour chez Ben Nodji s’écrit avec un grand A. Il chante régulièrement dans les bars de Paris (mais pas que), chante en province, en Belgique. Ses chansons les plus connues ? « Belle dans sa robe », « Cissoko », « Rien n’est écrit d’avance ». Notre troubadour comorien a pour citation favorite « Vivre c’est aimer » de l’écrivain Paul Valery. L’amour chez Ben Nodji s’écrit avec un grand A. Amour des femmes, amour des gens, amour du public, amour de l’Art et du partage (on pense à sa chanson « Fraternité », dont le texte fut écrit par Claude Lemesle), amour de la Vie, tout simplement. Et c’est à un moment de vie qu’il nous convie le 26 février au célèbre lieu chanson le Connétable.

Goulam en concert à Paris

sam. 3 mai 2025 à la Cigale 20:00 Né sur l’île d’Anjouan aux Comores, Goulam emprunte ses influences des quatre coins du monde depuis son plus jeune âge. C’est à 7 ans que l’artiste commence l’apprentissage du piano parallèlement aux rythmes et chants traditionnels des Comores. À l’adolescence, il s’ouvre à la guitare, puis à la batterie et enregistre ses toutes premières compositions solo. En 2007, Goulam décide de s’installer en France, baccalauréat en poche. Diplômé par la suite d’un master en développement informatique, il se consacre à sa passion et enrichit son univers musical, développe son écriture et sa voix. Plus d’infos et places sur : https://lacigale.fr/evenements/goulam/

La Réunion : Exposition Papirklip de Térésa Small à Saint Denis

L’exposition présente des oeuvres récentes ou rarement exposées de Térésa Small, Christiane Fath et Migline Paroumanou. Entre peinture, dessin, broderie et céramique, les oeuvres réinventent les trajectoires familiales et tissent de nouveaux mythes. Les artistes explorent la magie, le tragique et le merveilleux, offrant une réflexion sur les blessures du passé et les possibilités de réconciliation. Les oeuvres brodées de Térésa Small s’inspirent des contes, de l’opéra et de la poésie, convoquant l’imaginaire de l’enfance dans ses dimensions magiques et tragiques. Térésa Small, plasticienne et brodeuse, crée des oeuvres textiles qui font appel au sensible et à l’indicible, avec des influences géographiques variées. L’exposition est accessible gratuitement du mardi au samedi, de 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h, sauf les dimanches, jours fériés, et lors de certaines privatisations. Plus d’infos : http://www.citedesarts.re/Teresa-Small-1344

Le Kabary malagasy : un art oratoire inscrit au patrimoine culturel immatériel de l’humanité

Le Kabary malagasy est un discours poétisé, riche en proverbes, maximes et jeux de mots, traditionnellement utilisé pour informer les communautés des événements sociaux et des décisions administratives. Avec le temps, il est devenu essentiel lors de diverses cérémonies à Madagascar, telles que les festivités, les funérailles et les manifestations officielles. En décembre 2021, l’UNESCO a reconnu l’importance culturelle du Kabary en l’inscrivant sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité. En France, l’association Fikambanan’ny Mpikabary Malagasy (FI.MPI.MA) Section Paris œuvre pour la protection et la promotion de la langue malgache à travers cet art oratoire. Elle propose des formations et organise des événements pour transmettre et célébrer cette tradition. La pratique du Kabary, autrefois réservée aux hommes de haut rang, s’est démocratisée et est désormais adoptée par les jeunes et les femmes, renforçant ainsi la cohésion sociale et le partage culturel au sein des communautés malgaches.

Musée de l’Homme: Tanzanie et culture Makondé.

La société Makondé se caractérise par des rites initiatiques de passage donnant lieu à d’importantes cérémonies au cours desquelles se déroulent des danses en présence de musiciens. Ces célébrations se font avec des masques d’ancêtres mapico et tambours, cornes d’antilopes, clochettes, calebasses, poupées articulées… Ces sculptures anciennes sont de natures rituelles et évoquent le mythe fondateur de la sculpture qui s’anime et devient la première femme et représentent des ancêtres. Les Makondés sont une population de langue bantoue d’Afrique australe, vivant principalement dans le sud-est de la Tanzanie et dans le nord du Mozambique. On les trouve également au Kenya et en petit nombre à Mayotte. Les Makonde du nord du Mozambique et du sud de la Tanzanie portaient des masques-casques appelés lipiko lors des cérémonies d’initiation des jeunes gens. Vu au musée de l’Homme :Ce masque est une partie d’un costume porté par les jeunes hommes lors de rituels initiatiques marquant le passage à l’âge adulte chez les Makondé. Cela ne vous aura pas échappé : il met en valeur le corps d’une femme enceinte.C’est un symbole de fécondité : le cercle formé de points gravés autour du nombril accentue cet aspect. Plus d’information sur : https://www.instagram.com/museedelhomme/p/CwKSG6lK8r4/

La Réunion : « Traces » de Christiane Fath

À découvrir au Banyan jusqu’au 1er mars 2025 Le Banyan – Centre d’art contemporain de La Cité des Arts de La Réunion s’associe à Documents d’artistes La Réunion pour présenter dans ses nouvelles project rooms, des œuvres récentes ou rarement exposées de Christiane Fath, Migline Paroumanou et Térésa Small, ainsi que leurs portraits filmés réalisés grâce au soutien du Fonds Réunion des Talents. Entre peinture, dessin, broderie et céramique, les œuvres exposées réinventent les trajectoires familiales, emplissent les silences de la mémoire collective et tissent de nouveaux mythes. Christiane Fath, Migline Paroumanou et Térésa Small y convoquent tour à tour la magie, le tragique et le merveilleux, proposant ainsi une réflexion sur les blessures du passé et les possibilités de réconciliation. Christiane Fath explore les espaces géographiques liés aux migrations de sa famille ainsi qu’à ses propres déplacements. S’inspirant librement du mouvement Supports/Surfaces, elle construit une légende artistique en y intégrant des potentialités à la fois réelles et fictionnelles Plus d’infos : http://www.citedesarts.re/Christiane-Fath

Bornéo : Course des Héros Paris 2025

Bornéo : Course des Héros Paris 2025 🌿 Rejoignez la Course des Héros 2025 et faites la différence pour notre planète ! 🌿 Cette année, c’est l’événement caritatif à ne pas manquer ! Venez courir, marcher ou simplement vous engager pour protéger les forêts tropicales de Bornéo, un véritable trésor de biodiversité qui fait du bien à la planète. On se mobilise ensemble pour des projets scientifiques innovants, soutenir les communautés locales et offrir une éducation environnementale de qualité. Un avenir plus vert, c’est possible grâce à VOUS ! ⚡ 2 manières de participer à cet évènement inspirant : 🚀 Pour nos Héros, 3 parcours, 3 façons de vous engager : 💪 3 étapes pour devenir un Héros : Vous inscrire: https://www.alvarum.com/charity/2394/challenge/2428