TOURISMER-ASSO

“Paris-Seychelles” une chanson pour s’évader…

Le thème de l’évasion est omniprésent dans la chanson « Paris-Seychelles ». Julien Doré explore à travers ses paroles un désir ardent de quitter le quotidien pour des horizons plus lumineux. Les Seychelles représentent un idéal d’évasion, en contraste avec la complexité de la vie parisienne moderne… Plus d’infos sur : https://www.pausemusicale.com/genres-musicaux/julien-dore-pourquoi-paris-seychelles-nest-pas-une-chanson-damour/

Plongée dans les arts classiques de l’Inde : Masterclass de Bharatanatyam à Paris avec Shijith N. & Parvathy

Les 21 et 22 juin, Paris accueille un événement exceptionnel dédié à la danse classique indienne : une masterclass de Bharatanatyam animée par le duo renommé Shijith N. & Parvathy. Véritables ambassadeurs des arts traditionnels du sud de l’Inde, leur pédagogie allie rigueur, émotion et transmission vivante du patrimoine chorégraphique millénaire. Au cœur du Studio Bleu, cette rencontre s’adresse à tous ceux et celles qui souhaitent approfondir leur connaissance de cet art raffiné où se mêlent rythme, narration, et spiritualité. Étudiants, passionnés, enseignants ou simples curieux : venez explorer l’élégance et la profondeur du Bharatanatyam aux côtés de deux maîtres reconnus internationalement. Plus d’information: https://indoeuropean.eu/bharatanatyam-master-class-in-paris-with-shujith-n-parvathy-on-21st-22nd-june/

La France et le Qatar renforcent leur coopération culturelle

La diplomatie culturelle entre la France et le Qatar a franchi une nouvelle étape significative en avril dernier à Doha. À l’occasion de la visite de la ministre française de la Culture, Rachida Dati, six accords-cadre ont été signés entre des institutions culturelles françaises et qatariennes, marquant une volonté commune de renforcer les liens entre les deux pays à travers les arts, le cinéma, la formation et le patrimoine. Parmi ces accords, figure un partenariat entre les musées d’Orsay et de l’Orangerie et Qatar Museums, incluant des prêts réciproques d’œuvres d’art. Le musée Guimet s’est également associé à Qatar Museums dans une dynamique similaire. Un autre accord, signé avec le ministère français de la Culture, prévoit le développement de programmes de formation professionnelle, notamment en lien avec les Manufactures nationales et l’école de cinéma La Fémis. Dans le domaine du cinéma, un partenariat entre le Doha Film Institute et le Centre national du cinéma et de l’image animée vise à encourager les coproductions franco-qatariennes. Un protocole d’accord a aussi été conclu entre la Bibliothèque nationale du Qatar et la Bibliothèque nationale de France pour favoriser la recherche et la valorisation des collections patrimoniales. Ces initiatives s’inscrivent dans la continuité de la visite d’État de l’Émir du Qatar, Cheikh Tamim bin Hamad Al Thani, en France en février 2024. Elles témoignent d’un dialogue culturel riche, ancré dans une relation de confiance mutuelle et d’ambitions partagées. Les premières actions concrètes issues de ces accords devraient voir le jour dans les mois à venir.   Source: https://www.lefigaro.fr/flash-actu/la-france-et-le-qatar-concretisent-des-partenariats-entre-institutions-culturelles-20250421

Découvrez AMAMOZ : un lien vivant entre la France et le Mozambique

L’Association des Mozambicains et Amis du Mozambique en France (AMAMOZ) œuvre pour rapprocher les cultures, renforcer la solidarité entre Mozambicains vivant en France et faire rayonner la richesse culturelle du Mozambique à travers des événements variés : concerts, expositions, projections, rencontres… Envie d’en savoir plus, de participer ou de soutenir leurs actions ? Visitez leur site et plongez dans l’univers  du Mozambique en France !

Le Xeedho, premier patrimoine immatériel de Djibouti inscrit à l’UNESCO

Le Xeedho, plat traditionnel somali offert lors des mariages, est devenu le premier élément du patrimoine culturel immatériel de Djibouti inscrit sur la liste de l’UNESCO. Cette reconnaissance, annoncée le 5 décembre 2023, marque une étape majeure dans la valorisation de la culture djiboutienne. Symbole de solidarité familiale, le Xeedho est menacé par la disparition progressive des savoir-faire traditionnels. Consciente de cet enjeu, Djibouti a lancé des initiatives de transmission et de sensibilisation, soutenues par l’UNESCO, notamment la formation de jeunes filles et d’enseignants. L’inscription du Xeedho célèbre non seulement un héritage national, mais contribue aussi à la promotion de la diversité culturelle et de la paix entre les peuples.   Lire plus : https://www.unesco.org/fr/articles/le-xeedho-premier-tresor-culturel-immateriel-de-la-republique-de-djibouti-etre-inscrit-sur-la-liste

Musique des Comores – CMB – Festival MDM 2025

Le 12 juillet 2025 à 10:30 Rue des Halles – 79600 AIRVAULT Le groupe CMB, musiques et chants des Comores, de Bressuire a été créé en 2020, mais le groupe jouait surtout pour sa communauté. En 2023, à l’occasion de la Fête de la musique, ils ont franchi le pas et seront présents en 2025 au Festival.Ce festival est une rencontre culturelle avec une programmation très éclectique.Échanges, partages… voilà comment peut se traduire le festival MDM avec des spectacles qui s’installent pour des apéro-concerts gratuits tous les soirs sur le domaine de Soulièvres. Un festival qui nous offre 8 jours de festivités dépaysantes sur Airvault et ses alentours.

Unis pour l’océan : les pays de l’Océan Indien font entendre leur voix à Nice

À l’occasion de la Conférence des Nations Unies sur l’Océan (UNOC3) à Nice, Madagascar, les Comores, les Seychelles et l’île Maurice affichent une mobilisation exemplaire. Face aux enjeux environnementaux et maritimes cruciaux, ces nations de l’Océan Indien unissent leurs voix pour défendre un avenir durable. TOURISMER Association salue cette dynamique collective, convaincue que la valorisation des richesses océaniques et culturelles est la clé du développement régional. ➡️ À lire ICI

Gaëlle Bélem propulse la littérature réunionnaise dans la cour des grands avec l’International Booker Prize

Gaëlle Bélem, romancière réunionnaise au style aussi incisif que vibrant, inscrit aujourd’hui la littérature de l’océan Indien dans une dynamique internationale inédite. Son roman “Sud sauvage” a récemment été sélectionné pour l’International Booker Prize, l’un des prix littéraires les plus prestigieux au monde, dédié aux ouvrages traduits en anglais. Une première pour une autrice réunionnaise – et un véritable événement culturel. Une plume réunionnaise acclamée Née à Saint-Benoît, Gaëlle Bélem s’est fait remarquer dès 2020 avec son premier roman Le fruit le plus rare, déjà salué pour sa puissance narrative et son ton irrévérencieux. Avec Sud sauvage, publié chez Gallimard en 2023, elle livre une fresque flamboyante et sociale, ancrée dans le Sud profond de La Réunion. Entre humour noir, sensualité et critique sociale, elle donne corps à un personnage féminin en quête de liberté, dans une île où les hiérarchies sociales, le poids de la religion, et les souvenirs du colonialisme composent un décor aussi enchanteur qu’étouffant. La critique ne s’y est pas trompée : Libération salue une autrice à la plume « diabolique », mêlant maloya, sarcasme et audace littéraire. Une voix francophone dans les hautes sphères de la littérature mondiale La sélection de Sud sauvage pour l’International Booker Prize 2025 témoigne d’une reconnaissance rare pour une autrice d’outre-mer. Traduite en anglais par Sarah Ardizzone, la version internationale du roman permet à un lectorat élargi de découvrir une Réunion littéraire trop longtemps restée en marge des circuits mondiaux. Cette visibilité est aussi le fruit d’un engouement croissant pour les littératures ultramarines, largement porté par les lecteurs, les réseaux sociaux et la presse culturelle francophone. Une figure inspirante pour une nouvelle génération Dans ses interviews, Gaëlle Bélem assume son attachement profond à La Réunion, mais aussi sa volonté de briser les clichés qui figent les cultures ultramarines dans des représentations passéistes. Elle revendique une littérature insulaire décomplexée, contemporaine, drôle, mais toujours politique. Avec elle, c’est toute une nouvelle génération d’autrices et d’auteurs réunionnais qui voit les portes s’ouvrir, portée par un lectorat curieux, des maisons d’édition plus attentives, et une presse enfin à l’écoute. Gaëlle Bélem n’est pas seulement en lice pour un prix littéraire. Elle incarne un basculement. Celui d’une littérature réunionnaise qui n’attend plus qu’on l’invite à la table : elle s’y installe avec talent, humour, et panache.

À la découverte du Kantha : Trésor textile du Bangladesh

Le Kantha, bien plus qu’un simple artisanat textile, est une tradition ancestrale originaire du Bengale – une région aujourd’hui partagée entre l’Inde et le Bangladesh. Ce savoir-faire, transmis de génération en génération, est à la fois un art de la récupération et une forme d’expression culturelle unique. Une tradition née de la simplicité et de l’ingéniosité Le mot Kantha signifie « chiffon » en sanskrit. Cette technique est née de la réutilisation de vieux tissus, notamment de saris usés, que les femmes superposaient en plusieurs couches (jusqu’à 6), puis brodaient à la main avec un point simple, le point avant. Ce geste humble donnait naissance à des couvertures, des nappes ou des vêtements d’une beauté touchante. Un art narratif : le Nakshi Kantha Au-delà de l’utilité, le Kantha est aussi un langage. Le Nakshi Kantha, forme plus artistique et figurative, permettait aux femmes d’exprimer leurs émotions, de raconter des histoires personnelles, voire de documenter leur quotidien. Chaque fil, chaque motif, chaque couleur a sa signification. Une broderie Kantha est souvent bien plus qu’un objet : c’est un fragment de vie, un témoignage culturel. Une tradition vivante et engagée Aujourd’hui, le Kantha continue d’évoluer. Il est devenu un élément prisé de la mode éthique et de la décoration intérieure. Des vêtements, coussins, sacs ou plaids Kantha s’inscrivent dans une esthétique bohème, durable et artisanale. Mais surtout, ce savoir-faire joue un rôle social essentiel : il permet à de nombreuses femmes au Bangladesh d’accéder à une indépendance économique. Dans la région de Sylhet, notamment, des coopératives soutiennent activement cette filière. Où trouver du Kantha en France ou en Europe ? Il est possible de se procurer des pièces authentiques de Kantha en France et en Europe via des boutiques de commerce équitable, les marchés d’artisanat ou salons éthiques … Honorer le fil de la mémoire Le Kantha n’est pas seulement un art textile. C’est un héritage vivant, un fil qui relie les femmes, les familles et les cultures. En choisissant une pièce Kantha, vous achetez plus qu’un objet : vous soutenez des mains, des récits, une dignité. Et vous participez à la préservation d’un trésor du patrimoine mondial.

Association culturelle : Titrain à la Réunion

Association Titrain la Réunion Le train situé en exposition à la Grande Chaloupe appelé affectueusement « Ti Train » était ici à LaRéunion une locomotive à voie métrique qui reliait Saint Benoît à Saint Pierre. C’était 126 km de rails en passant par Saint Denis le chef-lieu de La Réunion et par la Grande Chaloupe. Des tunnels ont été creusés à travers le Cap Bernard, le promontoir rocheux qui sépare le Nord de l’Ouest pourque le train puisse circuler. Le chemin de fer longeait la côte à travers 12 gares, 27 haltes et desouvrages d’art extraordinaires. Ce train était le seul au monde à transporter aussi bien les personnesque les marchandises. Au 19ème siècle c’était la locomotive Schneider Creusot qui conduisait lesvoyageurs ensuite à partir de 1940 on a fait venir les premiers autorails, ceux-ci avaient les côtés deleur toît incurvés pour mieux passer dans le tunnel, cela donna une forme aux autorails réunionnaisunique au monde. Le Ti Train a été la révolution des transports à La Réunion car en raison du reliefescarpé, il était difficile de se déplacer, à l’époque c’était à cheval ou par le cabotage grâce auxmarines qui étaient présentes dans chaque ville. Retrouvez plus d’infos sur le site de l’association : https://www.helloasso.com/associations/titrain