TOURISMER-ASSO

La Vannerie du Vacoa à La Réunion

La tresse du vacoa à La Réunion est un savoir-faire qui emprunte ses caractéristiques à différentesaires culturelles (française, africaine, malgache, comorienne et asiatique, entre autres). L’activité se réalise à partir de la feuille séchée du Pandanus utilis Bory par une technique decroisement des brins, plus ou moins fins selon les objets à produire. Cette pratique nécessite desoutils spécifiques peu complexes (couteau, aiguille, …).La tresse du vacoa est apparue et se maintient à La Réunion dans le cadre d’une économie deplantation, puis et aujourd’hui rurale. Elle sert à la fabrication principale de contenants et diversaccessoires utilitaires (sacs, ballots, paniers, nattes, …). Plus d’infos :https://www.culture.gouv.fr/Media/Thematiques/Patrimoine-culturel-immateriel/Files/Fiches-inventaire-du-PCI/La-vannerie-du-vacoa-a-la-Reunion-La-tresse-vacoa&ved=2ahUKEwjg3djOipuLAxXCTKQEHcF5JCQQFnoECBcQAw&usg=AOvVaw0ImBB_-nnj2AUZ75lt-IgV Credit photo : https://www.reunionest.fr/sejours-individuels/autour-du-vacoa/

Al Talli : L’Art Ancestral de la Broderie Émiratie en quête de survie face à la modernité

Reconnu en 2022 sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité, le Talli est un artisanat traditionnel emblématique des Émirats arabes unis. Particulièrement apprécié à l’approche des fêtes religieuses, telles que l’Aïd, et durant la saison estivale des mariages, le Talli, également désigné sous le nom d’Alseen, est confectionné en tressant six fils de coton autour d’un fil d’argent central. Ces fils s’entrelacent pour créer des motifs colorés évoquant la vie dans le désert et en mer. Cet art exigeant se transmet de manière informelle, de mère en fille, ainsi que de façon formelle à travers des cours et ateliers offerts dans les écoles, universités et centres dédiés à la préservation du patrimoine. Le Talli est également mis en avant lors de festivals, d’événements culturels et de concours. Les sessions de tressage, organisées dans les foyers ou les quartiers résidentiels, ont une dimension sociale significative, favorisant les interactions et le partage de savoir-faire. Ces rassemblements constituent également un cadre propice à la transmission orale du patrimoine immatériel, incluant contes, proverbes et récits populaires.   Lire l’article sur : www.francetvinfo.fr/culture/mode/aux-emirats-des-femmes-perpetuent-l-art-du-talli-une-broderie-traditionnelle-menacee-de-disparition_6460829.html

Technique d’impression Océan Indien : S’initier au Batik à Paris

Le batik est une technique de teinture sur tissu qui est utilisée dans plusieurs pays, principalement en Asie du Sud-Est, mais aussi dans d’autres régions du monde. Voici quelques-uns des pays de l’Ocean Indien où le batik est particulièrement populaire : Batik : Cette technique consiste à appliquer de la cire sur le tissu pour créer des motifs avant de le teindre. Une fois la teinture appliquée, la cire est retirée, laissant apparaître les motifs. Le batik est utilisé pour créer des vêtements, des foulards, des accessoires et des décorations. Maintenant que vous savez tout, un peu de pratique : Expérimentez la technique d’impression javanaise du batik et créez 2 œuvres en papier avec Florence, artisan designer textile et papier Plus d’infos : https://wecandoo.fr/atelier/paris-florence-initiation-papier-batik

Le combat entre les démons Sunda et Upasunda

Œuvre exposée actuellement au Musée Guimet – Place d’Iéna Il s’agit d’un épisode du Mahabharata, la grande épopée indienne, dont Vishnu sous les traits de Krishna, est l’un des héros. De part et d’autre d’un arbre de forme ogivale, les deux asura (démons) Sunda et Upasunda se disputent la possession de l’apsara Tilottama créée par les dieux pour engendrer la guerre entre les deux frères et rétablir la paix sur terre. Ce conflit se déroule sous le regard d’ascètes. Les images en relief, très vivantes, s’opposent dans l’art khmer aux statues de culte plus hiératiques et impersonnelles. L’exactitude dans le rendu de la nature, la perfection de l’exécution, l’imagination, mêlant de gracieuses figures aux décors végétaux luxuriants, définissent le style de Banteay Srei. Il s’agit ici des premières scènes narratives bien conservées qui infléchiront l’ornementation des monuments khmers. Plus d’information et visite : https://www.guimet.fr/fr/nos-collections/asie-du-sud-est/le-combat-entre-les-demons-sunda-et-upasunda

Récipients à eau en varech aborigène de Tasmanie

Dans les collections ethnographiques des musées, les récipients à eau en algue (kelp) de lutruwita (Tasmanie) comptent parmi les objets les plus rares. Seuls deux exemplaires historiques bien documentés subsistent. Le British Museum en conserve un, qui lui fut donné en 1851 à l’issue de l’Exposition universelle de Londres. Un autre, plus ancien et que l’on croyait perdu, se trouvait autrefois dans la collection d’un naturaliste français ayant pris part à l’expédition d’Entrecasteaux, qui visita le sud de lutruwita au début des années 1790. Il a été localisé en 2019 au musée du quai Branly – Jacques Chirac, où il était mal identifié. Les informations techniques et culturelles dont ces deux récipients témoignent ont aujourd’hui une valeur inestimable pour les communautés aborigènes (palawa) de lutruwita. Cet article revient sur la recherche collaborative menée actuellement sur ces objets par les communautés aborigènes, en partenariat avec les scientifiques et les conservateurs de musées, dans le but de mieux comprendre les techniques, un temps disparues, que ces objets illustrent. Plus d’infos sur : https://journals.openedition.org/artefact/15252

Expo en ligne : L’art textile vibrant de Madagascar

Pays insulaire, Madagascar n’a jamais pour autant été isolé du reste du monde. L’île étant située dans l’océan Indien, au carrefour des routes commerciales, ses habitants entretiennent depuis longtemps des liens étroits avec l’Asie, l’Afrique et l’Europe. Cela se manifeste particulièrement dans leurs arts textiles vibrants, qui incorporent continuellement de nouvelles fibres, teintures et décorations. Des commerçants indonésiens se sont installés sur l’île à partir de 300 de notre ère. Ils ont apporté avec eux des styles, des couleurs et des techniques textiles propres à l’Asie du Sud-Est. Pour découvrir les soieries des hautes-terres de Madagascar, visitez l’expérience virtuelle (en anglais) Born of the Indian Ocean sur Google Arts & Culture. https://www.rom.on.ca/fr/whats-on/exhibitions/nees-de-locean-indien

Australie: Les sculptures en argile de William Ricketts

Originaire de la région, William Rickett a été un homme particulier, un drôle de bonhomme hors-norme. Artiste et sculpteur de son temps, il était passionné par les cultures aborigènes, dont il partageait les valeurs et croyances. Il passa d’ailleurs le plus clair de sa vie à se rapprocher, puis à vivre avec les aborigènes Pitjantjatjara et Arrernte. Cela lui prit 10 années avant de se faire accepter comme l’un des leurs. C’est au travers de nombreux voyages dans le centre rouge qu’il se rapprocha de cette culture qui allait devenir le centre de son oeuvre. Il passa les dernières années de sa vie à vivre à Mount Dandenong, dans la forêt, à sculpter des visages aborigènes (et le sien, vous le remarquerez) qu’il disposait à travers la nature. 92 sculptures majeures en tout (en plus de celles, nombreuses et subtiles, dispersée ici et là), toutes faites d’argile de terre cuite au four à 1 200 degrés. Chacune d’elles représente un aspect de la vie, de la culture et des croyances aborigènes que Rickett cherchait à sublimer. Le 9 juin 2021, une violente tempête dans les monts Dandenong a causé d’importants dégâts au sanctuaire William Ricketts. De nombreux bâtiments et sculptures ont été endommagés par des arbres et des branches tombés. Parks Victoria continue de travailler sur un plan visant à sécuriser le site, mais cela va prendre plus de temps que sur d’autres sites en raison de l’ampleur des dégâts et de l’importance artistique et culturelle des sculptures. Il n’y a pas de date précise de réouverture du sanctuaire, mais cela devrait avoir lieu , nous l’epérons: ,en 2025 Plus d’infos : https://lagrandederoute.com/william-ricketts-sanctuary/ https://en.wikipedia.org/wiki/William_Ricketts

An invitation to travel

L’Atelier Desiles est une manufacture de rhum arrangé.Un atelier à taille humaine qui compose des recettes de rhum exclusives et singulières, dans le respect de la tradition familiale. Des tonalités généreuses, subtiles, qui puisent leur inspiration dans l’île de la Réunion, mariée à des produits venus de différents continents pour des combinaisons uniques et savoureuses. Son crédo ? Proposer un élixir aromatique qui se partage, se réserve et se savoure, et ouvrir les sens de ceux qui y goûtent. Retouvez toutes les créations de l’atelier sur : https://www.latelier-desiles.fr/linvitation-au-voyage Tiphaine Payrot Photographie

Recycled glass blown on wood from Indonesia

Fabriqués artisanalement en Indonésie, ces verres soufflés utilisent du verre de bouteille de bières recyclées, ajoutant cette teinte verte aux objets.  Le mélange du verre recyclé fondue puis déposé sur un morceau de bois, donne un aspect à la fois rustique et moderne à ces récipients, très apprécié par de nombreux clients !  Le verre recyclé ajoute une dimension éco-responsable par rapport au verre soufflé classique que nous proposons déjà, et plus bien entendu de sa couleur spécifique.  Le verre recyclé est chauffé à très haute température, jusqu’à obtenir un matériau souple et malléable. Une fois sa forme obtenue, il est directement placé sur un morceau de bois, et fini de durcir dessus, pour garantir que la forme épousera parfaitement le support. Chaque pièce est donc absolument unique ! Si les produits vous tentent : https://www.awartisan.fr/rbb