TOURISMER-ASSO

Paint Me Up : une idée venue d’Australie devenue expérience immersive à Paris

Né d’un voyage en Australie, où les fondateurs ont découvert le principe des apéros-peinture, Paint Me Up s’est imposé comme l’une des expériences créatives les plus originales de Paris. Installé dans le 5ᵉ arrondissement, l’atelier propose de peindre dans un décor immersif mêlant lumières fluorescentes, musique et ambiance décontractée — le tout accessible à tous, sans talent artistique requis. L’aventure a commencé modestement, dans un jardin familial, avant de rencontrer un succès fulgurant. Des ateliers organisés dans des bars partenaires au développement d’un véritable lieu dédié, plus de 10 000 participants ont déjà vécu cette expérience conviviale où l’on peint, sirote un verre et libère son imagination. Guidés par un artiste animateur, les participants repartent avec leur œuvre et un moment de détente hors du temps. Une activité créative, sociale et ludique qui séduit par sa simplicité et son atmosphère chaleureuse. Information ici

Hoda Afshar : Performer l’invisible

Née à Téhéran en 1983, Hoda Afshar vit aujourd’hui à Melbourne. Artiste visuelle parmi les plus innovantes de sa génération, elle explore des sujets tels que la marginalité, la représentation du genre, le déplacement. Première exposition monographique de l’artiste en France, Hoda Afshar. Performer l’invisible dévoile son installation inédite The Fold, qui propose une relecture critique des photographies issues des collections du musée, réalisées par le médecin-psychiatre Gaëtan de Clérambault au Maroc entre 1918 et 1919 dans un contexte colonial. À travers l’exploration de ce fonds et la réappropriation des images, Hoda Afshar interroge la manière dont le médium photographique, utilisé par les pouvoirs dominants, façonne — et parfois enferme — la représentation des corps.Performer l’invisible A ne pas manquer! https://www.quaibranly.fr/fr/expositions-evenements/au-musee/expositions/details-de-levenement/e/hoda-afshar

Festival du Cinéma Aborigène Australien

ÉDITION 2025 Pour ses 10 ans, le Festival du Cinéma Aborigène Australien présente Tiwi Takeover ! , une Carte Blanche audacieuse portée par quatre icônes du cinéma, originaires des îles Tiwi : Miranda Tapsell ( Les Saphirs, Top End Wedding ) , Rob Collins ( The Drover’s Wife ) , productrice Libby Collins et sistergirl Crystal Love ( Black Divaz ) . Cette sélection rend hommage à une culture vieille de soixante mille ans et révèle la richesse singulière du cinéma des Premières Nations, aujourd’hui salué comme l’une des expressions majeures du cinéma mondial.Riches et engagés, ces films décolonisent les regards et vous font découvrir toute la vitalité d’une perspective singulière sur le monde, propre à la Blak Australia. Rejoignez le Cinéma L’Arlequin pour fêter 10 ans de cinéma Aborigène à Paris ! La programmation : https://cinemaap.com/

Bientôt la 3e édition du Festival International du Film de l’océan Indien

Le Festival International du Film de l’océan Indien a vocation à mettre en lumière la création cinématographique née des territoires de l’océan Indien. À travers une sélection de films en compétition – long-métrage documentaire, court-métrage fiction et documentaire – le festival met en valeur les talents émergents et les regards singuliers qu’ils portent sur les territoires du bassin. Avec un jury professionnel, le FIFOI se positionne comme une compétition de référence, faisant résonner les voix et les cultures de l’Océan Indien sur la scène cinématographique internationale. Le festival s’accompagne d’un Marché du Film, contribuant au renforcement du secteur audiovisuel et cinématographique du bassin. Cet évènement a pour vocation d’offrir aux professionnel.le.s un espace propice aux échanges, au networking et aux collaborations, favorisant ainsi la coopération entre les acteurs de l’industrie et les pays voisins.

Exposition « Esprits du Bush » – Art aborigène australien à Paris

« Esprits du Bush » présentera près d’une centaine d’œuvres issues de la collection FHBD : peintures sur toile, peintures sur écorce et artefacts. L’exposition s’articule autour de sept thèmes majeurs, allant des motifs traditionnels aux récits mythologiques, en passant par la flore et la faune du bush. Un livret de visite et un catalogue accompagneront cette immersion unique dans l’univers artistique et spirituel des Premières Nations d’Australie. Horaires et accès : Lundi au vendredi : 11h – 17h Samedi : 9h – 12h Entrée libre Vernissage : vendredi 10 octobre à 19h, ouvert à toutes et tous.

Le groupe australien The Cat Empire en concert au Bataclan

The Cat Empire est de retour en France et fera escale à Paris, au Bataclan, le 14 octobre 2025. Après des concerts mémorables et une discographie mêlant jazz, ska et musiques du monde, le groupe australien revient avec son énergie débordante et ses rythmes contagieux. On ne peut que conseiller d’aller applaudir The Cat Empire sur scène : bonne humeur, convivialité et rythmes endiablés seront de la partie !

Exposition “Australian Lustre” – Photographies de Trent Mitchell

En parallèle de l’exposition On Country: Photography from Australia aux Rencontres d’Arles, l’Ambassade d’Australie en France présente Australian Lustre, une odyssée visuelle à travers l’immensité des paysages australiens. Inspiré des road trips de son enfance, Trent Mitchell capture l’éclat doré des étés sans fin et les célèbres « Big Things », icônes culturelles du paysage australien. 🗓️ Jusqu’au 5 octobre 2025📍 Ambassade d’Australie, Paris

Les Opales d’Australie

L’opale, la pierre précieuse nationale estimée de l’Australie, incarne l’essence des trésors minéraux et gemmes du pays.L’Australie revendique fièrement plus de 90 % des réserves mondiales d’opale. On y trouve diverses variétés d’opale, notamment l’opale boulder, l’opale matrix, l’opale noire , l’opale cristal et l’opale blanche. Des villes minières notables telles que Lightning Ridge, Andamooka et Coober Pedy parsèment le paysage et ont gagné en popularité.L’Opale est une pierre fine de qualité gemme (transparente) ou ornementale (opaque), très appréciée des bijoutiers-joailliers et très recherchée des collectionneurs dans ses plus belles qualités. Elle est composée d’eau (jusqu’à 21%) et de silice, sous forme de toutes petites sphères. Ces sphères s’accumulent progressivement sous forme de couches. Quand ces couches sont bien agencées (superposées de manière uniforme) et que les sphères de silices possèdent le même diamètre, la diffraction de la lumière au travers de ces microsphères engendre des jeux de couleurs (Opale noble). La couleur est déterminée par le diamètre de ces sphères. Si les couches sont irrégulières et désordonnées ou quand les diamètres des sphères ne sont pas identiques, il n’y a pas de diffraction de lumière et les Opales sont dépourvues de jeux de couleurs (Opale commune, aussi appelée « potch »). L’opale ne possède pas de système cristallin (agencement d’atomes entre eux) contrairement au Quartz par exemple. Sa structure est dite amorphe. La majorité des Opales sont extraites en Australie mais il existe également des gisements dans d’autres pays La qualité et la quantité d’Opales disponibles sur le continent Australien en font le premier producteur mondial depuis plus d’un siècle. C’est en juillet 1993 que l’Opale a été proclamée « gemme nationale » de l’Australie. Principalement sédimentaire, l’Opale Australienne a la réputation d’être plus la stable et la plus précieuse sur le marché. Plus d’infos sur : https://charliesgems.fr/fr/blog/article/47-opales-australie.html

Yallaroo : l’art aborigène australien en fleurs à Paris jusqu’au 30 septembre

Jusqu’au 30 septembre 2025, il est encore temps de découvrir « Yallaroo », l’exposition collective d’art aborigène présentée par Arts d’Australie • Stéphane Jacob.À travers des œuvres vibrantes, les artistes rendent hommage à la transformation du désert australien après la saison des pluies : une renaissance où la terre passe du brun aride à l’éclat des fleurs jaunes, rouges et violettes.« Yallaroo », qui signifie belles fleurs en langue aborigène, célèbre la résilience de la nature et la connexion spirituelle des peuples aborigènes avec le Temps du Rêve, source de mémoire, de traditions et de vie. 📍 13 rue Chapon, Paris 3e🗓️ Jusqu’au 30 septembre 2025🕙 Lundi au samedi, de 10h à 18h

NAIDOC Week, a highlight of the Australian calendar, celebrated in Paris

Entre mode, culture et héritage  La Semaine NAIDOC est l’un des moments les plus significatifs du calendrier australien. Elle rend hommage à l’histoire, à la culture et à la contribution des peuples aborigènes et insulaires du détroit de Torres à la société australienne. Pour sa 50e édition, et sur le thème « La prochaine génération : force, vision et héritage », NAIDOC célèbre les jeunes leaders autochtones qui font progresser leur culture avec détermination et fierté. C’est dans ce contexte que Paris, en pleine Fashion Week, a accueilli une célébration exceptionnelle : la créatrice australienne Grace Lillian Lee, issue des Premières Nations, a présenté sa toute première collection haute couture, « The Guardians », dans l’espace immersif du 229LAB. Sa performance intime et cérémonielle a captivé le public, mêlant histoire, design et transmission à travers huit pièces sculpturales inspirées de son héritage du Far North Queensland et des îles du détroit de Torres. Une continuation puissante de son exposition The Dream Weaver: Guardians of Grace, récemment intégrée aux collections de la Queensland Art Gallery | Gallery of Modern Art.