TOURISMER-ASSO

LeRed Bull Hardline Tasmania Track

La Red Bull Hardline Tasmania se déroulera à guichets fermés les 23 et 24 février et sera diffusée sur Red Bull TV, quelques mois avant que l’événement ne revienne dans la vallée de Dyfi, au Pays de Galles, les 1er et 2 juin. Sur le terrain accidenté du célèbre Maydena Bike Park en Tasmanie, plus de 30 coureurs venus du monde entier s’attaqueront à certaines des pistes de VTT les plus difficiles que l’Australie puisse offrir. Le parcours a été construit en près de 7 500 heures et présente de nouvelles caractéristiques typiquement australiennes, ce qui ne manquera pas de donner du fil à retordre aux coureurs. Plus d’infos sur : https://www.redbull.com/ch-fr/red-bull-hardline-tasmanie-australie-apercu-parcours

Ressusciter le Tigre de Tasmanie?

Colossal Biosciences, la société de biotechnologie à l’origine des plans de réanimation du mammouth laineux, du dodo et du tigre de Tasmanie, a annoncé avoir levé 200 millions de dollars supplémentaires d’investissement, portant son financement total à 435 millions de dollars. Les progrès du génie génétique et de la biologie synthétique font de la résurrection d’animaux autrefois perdus pour ce monde une perspective tangible. Les organisations et les entreprises à l’avant-garde des efforts de dé-extinction promettent un succès – et étonnamment bientôt. Pour le tigre de Tasmanie ou thylacine, le rythme des progrès a été plus rapide que prévu. Les scientifiques de Colossal ont pu effectuer 300 modifications génétiques dans une lignée cellulaire d’un dunnart à queue grasse, qui est le marsupial que Colossal a choisi comme espèce de base et futur substitut. L’entreprise a séquencé ce que Lamm a décrit comme le génome ancien de la plus haute qualité à ce jour pour un animal. Plus d’infos sur : https://edition.cnn.com/2025/01/16/science/colossal-de-extinction-funding-resurrection-science/index.html

Expo photo sur Madagascar

Au cours de sa carrière de photographe Thierry Vasseur a réalisé de nombreux reportages, certains dans des lieux paradisiaques.Cette année, du 8 février au 15 mars, la galerie L’Oeil à facettes vous propose de découvrir son regard sur Madagascar d’où il a rapporté des photos qui réchauffent le cœur et l’âme en cette période hivernale.Vernissage samedi 22 février à partir de 18h. L’oeil à Facettes, 11 Rue du Pont National | Lormes

Musiques du Kenya

Au fil des siècles, en parallèle à la traite négrière, s’est développé un répertoire musical original, croisant les traditions africaines et islamiques. À Zanzibar ou au Kenya, on chante le tarab (du terme arabe qui signifie « transe ou extase »). Dans des chants interprétés encore en arabe ou en swahili, on peut entendre le oud et le violon arabes ornementer leurs mélodies des modes musicaux indiens et égyptiens sur fond de rythmique africaine. La musique de Zein l’Abdin est fondée rythmiquement sur les mélodies des ngomas, les anciennes fêtes swahilies de l’île de Lamu. Cette petite île située en face de la ville de Mokowe au Kenya était aussi un haut lieu de la traite d’esclaves du XIVe siècle jusqu’en 1873, lorsque les Anglais interdiront ce trafic. Ainsi, Zein l’Abdin prolonge une tradition autrefois choyée par les marins arabes, à l’époque où son père, musicien réputé de la région, animait ces soirées. Le tarab est maître dans la ville de Mombasa au Kenya et à Zanzibar, mais il s’est répandu dans toutes les villes côtières entre la Somalie et le Mozambique. Zein l’Abdin chante pour les mariages et est le musicien emblématique de ce style. Doyen du genre, il accompagne son chant avec le luth arabe (oud) ou le kibangala, luth ancestral, parent du qanb Pour écouter https://philharmoniedeparis.fr/fr/live/concert/0885985-musiques-du-kenya

Le travail de la corne de zébu à Madagascar

Objet de rituel et symbole royal de puissance et de prospérité, la corne de zébu sert à produire une multitude d’objets : bijoux, peignes, talismans et pendentifs, couteaux, couverts et coupelles ne sont que quelques exemples de son utilité ! Le zébu, cousin proche de la vache, est un symbole encore plus fort que le lémurien pour le peuple malgache, offrant une grande variété d’usages aux habitants de l’île. Sa silhouette, reconnaissable par ses grandes cornes et sa bosse, fait partie intégrante du paysage malgache, en particulier dans les régions rurales. Le zébu est une ressource vitale pour les populations locales : il fournit du lait, de la viande, de la force pour le travail agricole, mais également des cornes, soigneusement récupérées et transformées. Le 15 juillet dernier , le Ministre du Tourisme et de l’Artisanat a inauguré la première centrale d’achat de cornes de zébu à Imerintsiatosika. Cette initiative vise à répondre aux besoins des artisans cornetiers de la région Itasy en leur fournissant des cornes de zébu de qualité à des prix abordables, en accord avec l’un des axes prioritaires du ministère concernant l’accès aux matières premières. D’autres centrales d’achat – de cornes de zébu ou autres matériaux comme le cuir ou le bois – verront le jour dans les prochains mois en fonction des besoins locaux identifiés. Elles constitueront autant d’étapes sur cet axe touristique de 220 km, rebaptisé pour la circonstance « route de l’Artisanat ». Plus d’infos https://raffiacreation.com/le-travail-de-la-corne-de-zebu-de-madagascar

Art Indien : La Galerie Indian Heritage

Créée en 2006 par Frédéric Rond (expert CNE), Indian Heritage est une galerie spécialisée dans l’art indien et himalayen. Situé à St Germain des Prés (Paris), il propose un large choix de pièces primitives et classiques avec un focus sur les masques himalayens. N’hésitez pas à les contacter si vous souhaitez vendre certains objets de vos collections. Plus d’informations : indian,inde,himalaya,art,antique,mask,masque,primitif,primitive,nepal,tibet

Les Seychelles étaient à l’honneur au Salon de la Plongée Sous-Marine 2025 Lors de la 26e édition du Salon de la Plongée Sous-Marine, qui a eu lieu du 9 au 12 janvier 2025 à Paris Expo Porte de Versailles, les Seychelles ont brillamment mis en valeur leurs atouts marins sur un stand aux couleurs du Tourism Seychelles. Cet événement a permis à l’archipel, fort de ses 115 îles, de renforcer son statut de destination incontournable pour les passionnés de plongée sous-marine. Reconnues pour la beauté de leurs récifs coralliens, leur biodiversité marine unique et leurs nombreux sites de plongée exceptionnels, les Seychelles ont captivé l’attention des visiteurs.

L’Inde à Paris – Visite contée dans les temples hindous

Du dimanche 26 janvier au dimanche 18 mai 2025 Au cœur d’un quartier en pleine effervescence, deux petits temples hindous, véritables havres de paix, vous ouvrent leurs portes pour un voyage des plus dépaysants. Sandrine, passionnée de la culture indienne et de sa dimension spirituelle, vous invite à découvrir les principales divinités composant le panthéon hindou (Shiva, Vishnou, Ganesh, Brahma…). A travers ses récits et de petits contes traditionnels, vous découvrirez notamment les légendes de Ganesh et d’Ayyapan, tous deux fils de Shiva, et à qui les deux temples sont dédiés. Pourquoi Ganesh a-t-il une tête d’éléphant ? Comment Ayyapan a-t-il vaincu la démone à tête de buffle ? Venez les rencontrer, ils vous racontent leur histoire. Ce sera également l’occasion de vous révéler certains us et coutumes de la vie quotidienne des Indiens. Vous aurez la chance par ailleurs d’assister à une mini puja (cérémonie) et pourrez partager à son issue les fruits de l’offrande, enrichis des vibrations énergétiques. En fin de visite, nous nous retrouverons autour d’un chaï (thé aux saveurs épicées) pour un moment d’échange et de partage. Plus d’infos et vous inscrire : https://www.paris.fr/evenements/l-inde-a-paris-visite-contee-dans-les-temples-hindous-22177

Seychelles : le moutya, la danse de la résistance

Le moutya a été introduit aux Seychelles par les esclaves africains arrivés avec les colons français au début du XVIIIe siècle. Cette danse a de nombreuses cousines dans l’Océan indien, avec le « séga » de l’ île Maurice ou le « maloya » de l’ île de La Réunion .  Cette danse se pratiquait originellement autour d’un feu, au son de tambours en peau de chèvre, en secret, de nuit, dans la forêt loin des plantations. Clandestin, le moutya était une danse de résistance , accompagnée de chants dans lesquels les esclaves exprimaient leurs souffrances , les difficultés de leur vie quotidienne, les privations et l’injustice.  Ils utilisaient des instruments sommaires : tambours en peau de chèvre , noix de coco, triangles métalliques, marmites de cuisine et ustensiles… Les tambours, généralement au nombre de deux ou trois, sont le principal instrument du moutya. Plus d’infos : https://ich.unesco.org/fr/RL/le-moutya-01690