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Les films de la 2e édition du FIFOI

Le Festival International du Film de l’Océan Indien a vocation à mettre en lumière la création cinématographique née des territoires de l’océan Indien. À travers une sélection de films en compétition – long-métrage documentaire, court-métrage fiction et documentaire – le festival met en valeur les talents émergents et les regards singuliers qu’ils portent sur les territoires du bassin. Avec un jury professionnel, le FIFOI se positionne comme une compétition de référence, faisant résonner les voix et les cultures de l’Océan Indien sur la scène cinématographique internationale.

Le cri du cœur d’un peuple autochtone contre la déforestation à Bornéo : le film « Sauvages »

Ce long-métrage d’animation du cinéaste suisse a renoué avec les petites marionnettes aux grands yeux écarquillés qui ont fait le succès de « Ma vie de courgette ». Le film nous plonge sur l’île de Bornéo, auprès du peuple Penan. À la lisière de l’immense forêt tropicale où elle vit, Kéria, 11 ans, découvre un jour un bébé orang-outan abandonné dans l’exploitation de palmiers où travaille son père. Alors qu’elle prend soin du petit singe, son jeune cousin Selaï vient trouver refuge chez eux pour échapper au conflit qui oppose sa famille à des compagnies forestières. Ces deux rencontres vont mener Kéria au cœur de la forêt où vivent ses ancêtres, un territoire menacé de destruction. Le film paru en fin d’année 2024 est encore visible dans quelques salles , dépêchez vous!

Amirul Arham : Un Cinéaste et Poète entre le Bangladesh et la France

Amirul Arham, réalisateur, producteur, scénariste et poète originaire du Bangladesh, vit à Paris depuis 1985. Formé au cinéma à Dhaka et auprès de Jean Rouch, il s’est distingué par plusieurs œuvres primées, dont Antemanha, Social Business et Les Oubliés du Bangladesh, diffusées sur des chaînes françaises et européennes. Actuellement, il travaille sur un documentaire, Le musée de la pauvreté, et un film de fiction, Prattabartan. En parallèle, il a étudié la sociolinguistique à la Sorbonne et publié plusieurs recueils de poésie en bengali et en français.  

7 films et séries originaux de Netflix Indonesia diffusés en 2025

Liste des films et séries originaux de Netflix Indonesia qui seront diffusés en 2025 Netflix a officiellement annoncé les sept derniers titres de film et la série originale qui seront diffusés tout au long de 2025. Les films et les séries sont de genre : thriller, comédie et drame , ils réalisés avec des cinéastes du pays .C’est un engagement de Netflix qui veut présenter une série de spectacles locaux pour les fans. Lupa Daratan (The Actor), Abadi Nan Jaya (The Elixir), The Most Beautiful Girl in the World, Losmen Bu Broto: The Series, Setetes Embun Cinta Niyala (Promised Hearts), A Normal Woman. Ratu-ratu Queens: The Series Plus d’infos sur : https://www.tempo.co/teroka/7-judul-film-dan-serial-original-netflix-indonesia-siap-tayang-di-2025-1204000

Institut français d’Indonésie : IFI film

13 février 2025 @ 19:00 – 21:00 – Institut français (Jl. Sagan No.3, Yk) Gratuit, sans réservation UNE HISTOIRE D’AMOUR ET DE DÉSIR Comédie dramatique De Leyla Bouzid Avec Sami Outalbali et Zbeida Belhajamor 2020 | 102 mins | Réalisé par Leyla Bouzid, ce long-métrage raconte le récit d’Ahmed, un Français d’origine algérienne qui découvre la sexualité. Ce film se veut innovant en brisant les codes et de nombreux clichés. On vous donne trois bonnes raisons de le regarder.

Cinema : Une femme indonésienne

Nouvelle figure du cinéma indonésien, Kamila Andini présente son troisième long-métrage Une femme indonésienne. La réalisatrice traite ici de ses thèmes de prédilections : l’émancipation des femmes et leur absence de perspective dans l’archipel asiatique. Présenté à la Berlinale en 2022, le film a été nommé dans neuf catégories et Laura Basuki a remporté l’Ours d’argent de la meilleure interprétation secondaire.

Festival International du Film de l’Océan Indien 2025

Le Festival International du Film de l’Océan Indien met en avant les récits qui mettent à l’honneur les cultures, les histoires émanant des territoires de l’Océan Indien. Les films documentaires qui offrent des récits et regards singuliers sur la vie de nos territoires, en faisant résonner les langues régionales de l’Océan Indien. Lieu de tournage : Afrique du Sud, Comores (les), Inde, Kenya, Madagascar, Maldives (les), Maurice (l’île), Mayotte, Mozambique, Réunion (l’île de la), Rodrigues, Seychelles, Somalie, Sri Lanka, Tanzanie, Zanzibar.

Mémoires d’un escargot  : une petite fille sort de sa coquille

Un film d’animation Australien réussi!! “Mémoires d’un escargot” d’Adam Elliot : un conte en pâte à modeler pétri d’humanité L’orpheline sortira-t-elle un jour de sa coquille ? Ce film d’animation poignant, qui ne s’adresse pas aux enfants, porte haut son esthétique de la dépression. Lire les critiques : https://www.telerama.fr/cinema/memoires-d-un-escargot-d-adam-elliot-un-conte-en-pate-a-modeler-petri-d-humanite_cri-7036294.php

Ernest Cole, photographe, un documentaire de Raoul Peck – Au cinéma le 25 décembre 2024

Ernest Cole, photographe sud-africain, a été un pionnier dans la dénonciation des horreurs de l’apartheid auprès du monde entier. À seulement 27 ans, il publie en 1967 son ouvrage phare House of Bondage, une œuvre saisissante qui l’oblige à s’exiler à New York et en Europe, où il passera le reste de sa vie sans jamais retrouver pleinement ses repères. Dans son documentaire, Raoul Peck retrace les errances et les tourments de cet artiste révolté, marqué par la complicité et le silence du monde occidental face aux atrocités du régime de l’apartheid. Le film met également en lumière une découverte exceptionnelle : en 2017, 60 000 négatifs de son travail sont retrouvés dans le coffre d’une banque suédoise. Ernest Cole, l’un des premiers photojournalistes noirs d’Afrique du Sud, a produit des images d’une puissance inégalée, immortalisant la réalité brutale de la vie des Noirs sous l’apartheid. Parmi ses œuvres emblématiques figure la célèbre photographie d’une femme blanche assise sur un banc de parc portant l’inscription « EUROPEANS ONLY », un symbole glaçant de cette époque.   Plus d’information sur www.radiofrance.fr/franceinter/ernest-cole-photographe-un-documentaire-de-raoul-peck-sortie-en-salles-le-25-decembre-2024-1236598