Masoumeh Bahrami : une photographe documentaire iranienne

Actuellement sur les quais de Paris Masoumeh Bahrami est une photographe documentaire iranienne née en 1990. Elle a obtenu une maîtrise en art et architecture à l’université de Mazandaran. Elle a une profonde passion pour la photographie.Elle a une profonde passion pour la photographie, déclarant : « J’ai un trou dans mon cœur qui a été profondément rempli par la photographie ». The Tears of Motherland Le climat iranien est principalement aride ou semi-aride, gravement affecté par l’épuisement des ressources en eau. La baisse du niveau de la mer Caspienne, l’urbanisation rapide, le développement agricole, la pollution industrielle, la mauvaise gestion et l’utilisation excessive de l’eau des rivières ont exposé l’écosystème des zones humides à de graves problèmes environnementaux.Le point de départ de ce projet remonte à l’enfance du photographe, qui avait reçu en cadeau un flamant rose empaillé. Il en était terrifié, cependant l’oiseau est toujours resté présent chez lui. Cette peur correspond au profond sentiment d’effroi qu’il ressent face à la destruction de l’environnement. Ce projet est sa façon de transformer la peur en action, afin d’inspirer d’autres personnes à se joindre à la lutte pour la conservation. Plus d’infos : https://www.boutographies.com/exposition/the-tears-of-motherland
L’artiste mozambicaine Lizette Chirrime

L’artiste mozambicaine Lizette Chirrime a été accueillie dans les ateliers Poush, en banlieue parisienne. Ses oeuvres textiles monumentales sont intimement liées à son histoire, elle a véritablement fait de son art un outil thérapeutique. Lizette Chirrime est née en 1973 à Angoche (Nampula), Mozambique et a grandi à Maputo. Elle vit et travaille actuellement à Cape Town, en Afrique du Sud. Elle a fréquenté l’école de commerce jusqu’à l’âge de dix-sept ans, mais la création d’œuvres d’art utilisant de la peinture et de la couture a toujours été sa passion. En 2004, elle a été invitée à accueillir sa première exposition solo au Mozambique et en 2005, elle a accepté une résidence de trois mois dans les studios Greatmore à Cape Town, en Afrique du Sud.
Exposition “Australian Lustre” – Photographies de Trent Mitchell

En parallèle de l’exposition On Country: Photography from Australia aux Rencontres d’Arles, l’Ambassade d’Australie en France présente Australian Lustre, une odyssée visuelle à travers l’immensité des paysages australiens. Inspiré des road trips de son enfance, Trent Mitchell capture l’éclat doré des étés sans fin et les célèbres « Big Things », icônes culturelles du paysage australien. 🗓️ Jusqu’au 5 octobre 2025📍 Ambassade d’Australie, Paris
« Fantôme utile » : une pépite venue de Thaïlande

Dans ce premier film, l’âme d’une défunte hante un aspirateur, offrant un conte de fantômes politique et surprenant. Entre audace rafraîchissante et messages politiques trop surlignés, les critiques sont partagés sur ce premier long-métrage thaïlandais primé à Cannes. Après la mort tragique de Nat, victime de pollution à la poussière, March sombre dans le deuil. Mais son quotidien bascule lorsqu’il découvre que l’esprit de sa femme s’est réincarné dans un aspirateur. Bien qu’absurde, leur lien renaît, plus fort que jamais — mais loin de faire l’unanimité. Sa famille, déjà hantée par un ancien accident d’ouvrier, rejette cette relation surnaturelle. Tentant de les convaincre de leur amour, Nat se propose de nettoyer l’usine pour prouver qu’elle est un fantôme utile, quitte à faire le ménage parmi les âmes errantes … Le premier film du jeune réalisateur thaïlandais Ratchapoom Boonbunchachoke, sensation à la Semaine de la critique au festival de Cannes, où il a remporté le Grand prix Ami Paris du jury, présidé par le cinéaste espagnol Rodrigo Sorogoyen.
Danse et Musique Traditionnelles du Timor-Leste

Au Timor-Leste, la danse et la musique sont au cœur de la vie communautaire et de la transmission des traditions. Le tebedai, danse circulaire rythmée, symbolise l’unité et accompagne mariages, fêtes et cérémonies, tandis que le likurai, autrefois danse de guerre, est aujourd’hui une danse d’accueil empreinte de grâce et de couleurs. Ces danses sont portées par des instruments traditionnels comme le babadok (tambour) ou la flûte en bambou, et enrichies par des chants polyphoniques relatant les ancêtres, la nature et la mémoire collective. Plus qu’un art, elles incarnent l’identité et l’héritage culturel unique de ce pays insulaire.
Soutien à Madagascar : Concert de Jazz

Les associations d’aide à Madagascar Solitravel, Sahambala 28 et Tafita Soledam organisent un concert caritatif de jazz pour une soirée mémorable au Foyer d’Accueil Chartrain. La participation est libre. Vous trouverez sur place un buffet et une vente d’artisanat malgache au profit des associations. Le 04 octobre 2025, à partir de 20h L’Association TAFITA SOLEDAM (Association Tafita Solidarité avec les enfants démunis d’Ampefy, Madagascar), est une association Loi 1901 créée le 08 février 2013. TAFITA veut dire « Réussite » en langue malgache. La vocation de l’Association TAFITA SOLEDAM est de venir en aide à des enfants très démunis de la Commune Rurale d’Ampefy à Madagascar, en leur offrant la possibilité d’aller à l’école, d’y étudier dans les meilleures conditions possibles, et de bénéficier d’une cantine scolaire. https://www.helloasso.com/associations/solitravel/evenements/concert-jazz
Conte – théâtre : Augustin, Pirate des Indes

Le 10/06/2026 25 Places des Artistes | Onet-le-Château De 17€ à 20€ – Tarif de base – plein tarif | De 6€ à 10€ – Tarif enfant Augustin Volubile Poivre a 6 ans quand il devient capitaine d’un bateau pirate, sa passion : les épices. DR Conte – théâtre : Augustin, Pirate des Indes Pour débusquer le trésor du Maharadja de Pondichéry, Augustin et son équipage (les enfants du public) vont traverser l’Océan Indien à dos de baleine à bosse, s’amuser avec des orang-outans et échapper aux tigres…. Et puis il y a une princesse, un perroquet, un tireur d’élite et des chansons de marin. Le pirate, à différents moments du spectacle, fera même sentir de la muscade, de la girofle et de la cannelle, grâce à des drapeaux de senteurs parfumés aux huiles essentielles. La Médiathèque Paul Géraldini s’associe à cette programmation dans le cadre des Rendez-vous Conte.
NAMAN – Hommage aux arts traditionnels de l’Inde

Le 28 septembre 2025 à 18h au 6 rue Wurtz, Paris 13e, la danseuse Sharmila Sharma présentera NAMAN, un spectacle en hommage à Milena Salvini, grande défenseure des arts traditionnels de l’Inde. Disciple de Pandit Birju Maharaj et Pandit Rajendra Kumar Gangani, Sharmila Sharma a fait rayonner le kathak à travers le monde, se produisant dans plus de 35 pays et étant la première à établir cet art en France. Aujourd’hui, elle poursuit sa carrière entre l’Europe et l’Inde, continuant de transmettre la richesse et l’élégance de cette danse classique indienne. Information et réservation ici
KATOPE. La rencontre mystérieuse de Katope

Un court métrage de Walt MZENGI COREY | Tanzanie, Voilà une femme stérile qui demande que les ancêtres lui fassent cadeau d’un enfant. Dix ans plus tard, Katope est là mais depuis son arrivée, c’est la sécheresse, ce qui ne va pas manquer de mobiliser le village contre elle. Reflet de l’Afrique profonde qui croit que rien n’est dû au hasard, une cérémonie traditionnelle pour faire tomber la pluie nous invite à accepter nos coutumes. Mais Katope y sera-t-elle sacrifiée pour le plus grand malheur de sa mère ? Délaissant sa main, Katope prend son autonomie. Cela lui permettra-t-il de faire tomber la pluie, elle qui communique avec l’ibis sacré, l’oiseau de pluie ? Visuellement, le film de Walt Mzengi Corey est d’une fulgurante beauté. Il alterne des scènes intimes en gros plans sur l’harmonie entre la mère et sa fille et des scènes tantôt surréalistes tantôt ethnographiques sur les rituels mystiques. La caméra reste à hauteur d’enfant, car nous ne lâchons pas Katope. Plus : https://africine.org/critique/katope-la-rencontre-mysterieuse-de-katope/16404
Ananth Subramaniam : une voix émergente du cinéma malaisien à Cannes

Ananth Subramaniam est un réalisateur malaisien dont l’univers cinématographique explore avec finesse l’identité tamoule ancestrale et les dynamiques familiales. Après avoir obtenu une Mention spéciale à Locarno avec Liar Land, il signe en 2025 une nouvelle étape historique : son court métrage Bleat! devient le premier court métrage malaisien sélectionné à Cannes, en première mondiale à la Semaine de la Critique. Lauréat de plusieurs soutiens prestigieux (Talents Tokyo – Berlinale, Open Doors – Locarno, BIFAN, QCinema), il développe actuellement son premier long métrage The Passport, confirmant sa place parmi les voix émergentes les plus prometteuses du cinéma asiatique contemporain. Source https://www.semainedelacritique.com/fr/realisateurs/ananth-subramaniam