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Zak en Rodage : quand la Malaisie tourne à la comédie

Du 2 octobre au 18 décembre 2025 Retrouvez Zak Meg One sur la scène du Lieu à Paris dans son spectacle Zak en Rodage, une comédie pétillante où l’humour naît d’une aventure totalement improbable en Malaisie. En 2024, alors qu’il pensait profiter de vacances tranquilles, Zak se retrouve stoppé net à l’aéroport et même placé derrière les barreaux.  Entre anecdotes inattendues, autodérision et rires en cascade, Zak vous entraîne dans son univers avec une énergie débordante. Un rendez-vous à ne pas manquer pour découvrir un humoriste prometteur qui transforme l’imprévu en un moment de pure comédie. Situé au 41 rue de Trévise, Paris 9e, le Théâtre Le Lieu est une salle intimiste et conviviale, parfaite pour découvrir les humoristes émergents et les talents de demain.

Malaisie : Melaka accueillera la Journée mondiale du tourisme 2025

Pour la première fois, la ville de Melaka, en Malaisie, sera l’hôte de la Journée mondiale du tourisme (WTD) et de la Conférence mondiale du tourisme (WTC). Du 27 au 29 septembre 2025, des leaders du tourisme venus du monde entier se réuniront à Melaka pour un programme de haut niveau sur le thème « Tourisme et transformation durable », organisé par l’Organisation mondiale du tourisme des Nations Unies (OMT) en collaboration avec le ministère malaisien du Tourisme, des Arts et de la Culture (MOTAC) et le gouvernement de l’État de Melaka. « Classée au patrimoine mondial de l’UNESCO et riche d’un mélange unique d’histoire, de culture et de gastronomie, Melaka incarne les valeurs du voyage responsable » assure Tourism Malaysia. En partenariat avec l’OMT et des acteurs internationaux, cet événement servira de plateforme pour façonner un avenir plus durable et inclusif pour l’industrie touristique mondiale. En tant qu’hôte national, la Malaisie réaffirme son engagement en faveur du tourisme durable et saisit l’occasion de mettre en lumière ses attraits uniques sur la scène internationale. »

Ouverture cet automne : Mantra, l’écrin parisien du chef malaisien Manogeran Shashitaran

Après avoir marqué de son empreinte la côte picarde à travers la table de L’Itinérance, le chef malaisien Manogeran Shashitaran, dit Jack, s’apprête à ouvrir un nouveau chapitre de son parcours culinaire. En octobre 2025, il posera ses casseroles et ses épices au cœur du 9e arrondissement de Paris, avec l’ouverture de Mantra, rue Rodier. Fort d’un parcours dans de prestigieuses maisons françaises – de Marc Meneau à Jean-Michel Lorain, en passant par le Saint-James à Paris ou encore le Petit Hôtel Confidentiel – Jack a forgé un style personnel où l’héritage gastronomique français se marie aux parfums et à la profondeur aromatique de sa Malaisie natale. Avec Mantra, il souhaite pousser encore plus loin ce métissage culinaire : un restaurant intimiste, d’une quinzaine de couverts seulement, où chaque assiette sera pensée comme une passerelle entre deux mondes. Les épices et influences malaisiennes s’y exprimeront pleinement, dans un dialogue subtil avec les techniques et codes de la haute cuisine française. Dans un décor brut et épuré, Jack fera résonner son identité, son histoire et sa mémoire gustative, offrant aux convives une expérience aussi intime que dépaysante – un véritable voyage entre la côte picarde et l’Asie du Sud-Est.

Ananth Subramaniam : une voix émergente du cinéma malaisien à Cannes

Ananth Subramaniam est un réalisateur malaisien dont l’univers cinématographique explore avec finesse l’identité tamoule ancestrale et les dynamiques familiales. Après avoir obtenu une Mention spéciale à Locarno avec Liar Land, il signe en 2025 une nouvelle étape historique : son court métrage Bleat! devient le premier court métrage malaisien sélectionné à Cannes, en première mondiale à la Semaine de la Critique. Lauréat de plusieurs soutiens prestigieux (Talents Tokyo – Berlinale, Open Doors – Locarno, BIFAN, QCinema), il développe actuellement son premier long métrage The Passport, confirmant sa place parmi les voix émergentes les plus prometteuses du cinéma asiatique contemporain.   Source https://www.semainedelacritique.com/fr/realisateurs/ananth-subramaniam

Malaisie : la Céramique peranakan

Les Peranakans sont réputés pour leur vaisselle en porcelaine décorée de motifs peints à la main, comme des phénix et des pivoines. Les phénix symbolisent la féminité, le mariage et l’élégance, tandis que les pivoines, avec leur beauté florale, incarnent la signification de l’honneur et de la vertu. Les objets domestiques courants comme les lunch boxes, les assiettes, les bols, les cuillères, les baguettes, les théières et plus encore étaient merveilleusement ornés de couleurs pastel. Ces motifs reflètent une sorte d’expression individuelle culturelle et illustrent la manière dont les Peranakan envisageaient la vie – pleine de vitalité. Quelques familles extrêmement fortunées ont aussi personnalisé leur service de table en y ajoutant des marques distinctes, des noms et prénoms peints. En accord avec sa culture et son patrimoine, la cuisine peranakan est riche et regorge de saveurs complexes, généralement aromatiques et épicées, avec des ingrédients qui témoignent de ses origines hybrides. Les gâteaux et les biscuits aux ingrédients aromatiques tels que le sucre de palme, la noix de coco et le pandan sont très prisés par les Singapouriens. Ces douceurs font un excellent goûter ou dessert. Source : https://www.asiakingtravel.fr/blog/meilleurs-souvenirs-en-malaisie.html

Le Tanjak : bien plus qu’une coiffe, un symbole d’honneur

Saviez-vous que cette élégante coiffe traditionnelle malaise, portée dans la pratique du Silat Seni Gayong, incarne à la fois l’héritage, la discipline et la noblesse ? 🔍 Dans son récent article, Silat Seni Gayong France nous invite à découvrir l’histoire fascinante du Tanjak, ses origines, ses significations symboliques et sa place centrale dans la culture martiale du Silat. 📖 À lire ICI

Immersion au coeur des traditions des chasseurs-cueilleurs de Bornéo rencontre avec le peuple pénan

Nelly Tungang, malaisienne, née dans la forêt équatoriale de l’île de Bornéo, est issue de l’une des dernières tribus de chasseurs-cueilleurs nomades, les Penan. Vivant en France depuis plus de 30 ans, elle s’investit, accompagnée de son mari Guillaume Maire, dans de nombreux projets pour faire découvrir sa culture au plus grand nombre. La Médiathèque, en partenariat avec la Ville de Sarreguemines, vous invite à vous immerger dans la jungle pour faire connaissance avec le peuple des Penan, à découvrir leurs danses et musiques traditionnelles et à visionner un documentaire racontant la vie quotidienne des habitants de Long Kerong. Ce film vous permettra de comprendre le mode de vie de ce peuple autochtone et les événements auxquels il fait face pour assurer sa survie. Pour terminer, un atelier de fabrication de bracelets en rotin de Bornéo vous sera proposé : le rotin est une matière que les Penan ont pour coutume d’utiliser pour la réalisation de différents objets. Une rencontre exceptionnelle et fascinante vous attend ! Sorties / Exposition : Immersion au coeur des traditions des chasseurs-cueilleurs de Bornéo rencontre avec le peuple pénan – Radio Mélodie Vous souhaitez aider le peuple : les Penan ? rebdez vous sur la page association : https://www.survivalinternational.fr/peuples/penan

Club Penchak Silat Franck Ropers Paris

DOJO DE GRENELLE 21-23 rue de l’Amiral Roussin75015 PARIS Art martial originaire d’Indonésie et de Malaisie, le Penchak Silat est un art martial complet comprenant des formes de combat à mains nues et avec armes blanches ou bâtons. La fluidité, la rapidité et la précision sont ses atouts. Des blocages et des coups secs et violents visant les parties névralgiques de l’adversaire permettent de le mettre hors d’état de nuire le plus rapidement possible. Ce style est particulièrement adapté aux situations de self-défense. Silat (« combat ») est le terme générique qui désigne un ensemble d’arts martiaux d’Indonésie, de Malaisie, du Brunei, de Singapour et du sud de la Thailande et des Philippines. On trouve également la dénomination Silek à Sumatra. En Indonésie, on trouve essentiellement la dénomination Penchak ou Pencak Silat. Pencak signifie « mouvements formels ». Pratiquer le Penchak-Silat à Paris : Avec Mathias, le Dojo de Grenelle vous offre l’enseignement d’un expert de Penchak-silat de réputation internationale, vous découvrirez ses techniques dont la réputation d’efficacité n’est plus à faire. Il vous apprendra à développer vos capacités de riposte à l’agression, à vous défendre en toutes circonstances. Au programme: coups de pieds, coups de poings, projections, enchainement de combat..

Sybil Kathigasu : Une Héroïne Malaisienne Honorée à l’Occasion de la Journée Internationale des Femmes

Le 8 mars dernier, à l’occasion de la Journée internationale des femmes, Sybil Kathigasu, une figure emblématique de la résistance malaisienne, a été célébrée pour son courage durant l’occupation japonaise. Infirmière et patriote, elle a risqué sa vie pour soigner et soutenir la résistance antijaponaise. Son récit poignant, No Dram of Mercy, a récemment été redécouvert et traduit en malais (Kenangan Luka) ainsi qu’en français (Sans une once de miséricorde), permettant à un public plus large de découvrir son incroyable histoire de résilience et de bravoure.

Le Pencak Silat : un art spécifiquement malais et indonésien

Le Pencak Silat, un art spécifiquement malais et indonésien de self-défense, est une ancienne et très efficace science pour le contrôle de l’esprit et du corps. La combinaison des termes pencak et silat a été faite la première fois en 1948 lors de la création de la première fédération nationale, la fédération indonésienne de pencak silat : l’Ikatan Pencak Silat Indonesia Pencak silat est depuis le terme officiel pour désigner les pratiques de combat du Monde malais. En pays minangkabau, dans la province de Sumatra occidental, on parle de silek. La richesse, en langue minangkabau, du vocabulaire lié au silek, ainsi que la complexité des cosmologies et des rituels d’initiation permettent de penser que c’est dans cette région que l’art martial est apparu. On ne connaît pas à ce jour de sources solides relatives au silat et au pencak antérieures au XVIIIe siècle, époque à laquelle la diffusion de l’islam dans l’archipel était déjà avancée, du moins dans les régions côtières. Parmi les spécificités du pencak silat on trouve l’existence de formes dansées, dans certaines régions malaises, et à Java Ouest. Elles sont accompagnées d’une musique exécutée avec des instruments comme des tambours, des gongs et autres métallophones, un hautbois , et parfois une cithare et une flûte . Une explication de l’origine de cette forme dansée est l’interdiction imposée par les autorités coloniales néerlandaises au XIXe siècle, de pratiquer les arts martiaux. Les formes dansées seraient donc, à l’origine, une façon de dissimuler la pratique des arts martiaux, Son entraînement provoque le dépassement de soi à travers une extrême concentration. Cet art de combat a été développé par des peuples qui étaient constamment confrontés aux agressions aussi bien naturelles qu’humaines. En effet, en Indonésie, plus de trois cents volcans existent, dont cinquante sont en activité, et la forêt tropicale avec sa faune particulièrement dangereuse étaient et sont toujours une menace permanente. Après quatre siècles de colonialisme, la guerre pour l’indépendance provoqua un développement considérable de la pratique du pencak silat dans toutes les communautés. La résistance acharnée de ces peuples surprit énormément les colons occidentaux. C’est à travers de nombreuses formes et styles que le pencak silat a survécu jusqu’à nos jours. Chacun de ces styles correspondant à des conditions religieuses et géographiques déterminées. Suivant l’antique tradition, le savoir était transmis oralement de Maître à disciple. Plus d’informations : https://www.culture-silat.fr Source : Par Michael J. Lowe