Thaïlande : Célébrez Songkran à Paris

Le Wat Phrachetuphon Paris, également connu sous le nom de Wat Pho, organise la fête de Songkran, la célébration du Nouvel An thaïlandais. Rendez-vous au Wat Pho à Breux-Jouy (Essonne), à 36 km de la capitale française, le samedi 27 avril de 14h à 21h et le dimanche 28 avril de 9h à 20h pour vivre la magie de Songkran et vous immerger dans une expérience culturelle riche en traditions avec une multitude d’activités prévues tout au long de ces 2 jours. Au programme : Plus d’infos : Célébrez Songkran à Paris – Office National du Tourisme de Thaïlande
Le Pencak Silat : un art spécifiquement malais et indonésien

Le Pencak Silat, un art spécifiquement malais et indonésien de self-défense, est une ancienne et très efficace science pour le contrôle de l’esprit et du corps. La combinaison des termes pencak et silat a été faite la première fois en 1948 lors de la création de la première fédération nationale, la fédération indonésienne de pencak silat : l’Ikatan Pencak Silat Indonesia Pencak silat est depuis le terme officiel pour désigner les pratiques de combat du Monde malais. En pays minangkabau, dans la province de Sumatra occidental, on parle de silek. La richesse, en langue minangkabau, du vocabulaire lié au silek, ainsi que la complexité des cosmologies et des rituels d’initiation permettent de penser que c’est dans cette région que l’art martial est apparu. On ne connaît pas à ce jour de sources solides relatives au silat et au pencak antérieures au XVIIIe siècle, époque à laquelle la diffusion de l’islam dans l’archipel était déjà avancée, du moins dans les régions côtières. Parmi les spécificités du pencak silat on trouve l’existence de formes dansées, dans certaines régions malaises, et à Java Ouest. Elles sont accompagnées d’une musique exécutée avec des instruments comme des tambours, des gongs et autres métallophones, un hautbois , et parfois une cithare et une flûte . Une explication de l’origine de cette forme dansée est l’interdiction imposée par les autorités coloniales néerlandaises au XIXe siècle, de pratiquer les arts martiaux. Les formes dansées seraient donc, à l’origine, une façon de dissimuler la pratique des arts martiaux, Son entraînement provoque le dépassement de soi à travers une extrême concentration. Cet art de combat a été développé par des peuples qui étaient constamment confrontés aux agressions aussi bien naturelles qu’humaines. En effet, en Indonésie, plus de trois cents volcans existent, dont cinquante sont en activité, et la forêt tropicale avec sa faune particulièrement dangereuse étaient et sont toujours une menace permanente. Après quatre siècles de colonialisme, la guerre pour l’indépendance provoqua un développement considérable de la pratique du pencak silat dans toutes les communautés. La résistance acharnée de ces peuples surprit énormément les colons occidentaux. C’est à travers de nombreuses formes et styles que le pencak silat a survécu jusqu’à nos jours. Chacun de ces styles correspondant à des conditions religieuses et géographiques déterminées. Suivant l’antique tradition, le savoir était transmis oralement de Maître à disciple. Plus d’informations : https://www.culture-silat.fr Source : Par Michael J. Lowe
La danseuse pyromane – Bharatanatyam et poésie

Vendredi 21 mars 2025 Le bharata natyam, auparavant appelé Sadir ou Dasi Attam, est une danse classique indienne originaire du Tamil Nadu, dans l’Inde méridionale. C’est l’une des plus anciennes danses traditionnelles indiennes, liée aux pratiques religieuses dès son origine. La danseuse pyromane est seule en scène, c’est une plongée poétique dans l’univers du Bharatanatyam autant que dans la conscience d’une danseuse sur scène. Reprenant la structure d’un récital classique, musique et danse laissent émerger des textes, qui habillent, traversent et habitent le spectacle. C’est à la fois la promenade et le promeneur, la tradition des chorégraphies classiques et le discours intérieur et intime qui en jaillit, comme un feu longtemps contenu et enfin exprimé. Plus d’infos et Billetterie : https://www.sortiraujourdhui.fr/index.php?eID=461379
Sebastião Salgado « Genesis Platinum »

Vagabond sans frontières, passager silencieux collectionnant les paysages, Sebastião Salgado promène depuis vingt ans son objectif aux quatre coins du globe pour capturer la beauté fragile des régions les plus reculées du monde, traquant avec passion la moindre parcelle de terre encore vierge. Genesis, œuvre colossale réalisée sur une décennie, brosse un portrait intimiste et élégant de notre planète, entre contemplation et souvenirs fantasmés d’un monde inviolé. Source : https://www.arts-in-the-city.com/2025/01/23/exposition-sebastiao-salgado-a-la-galerie-polka/ Pour notre part, la visite nous a permis de découvrir des oeuvres réalisées à Madagascar et en Papouasie, A ne pas manquer! GALERIE POLKA Jusqu’au 15 Mars 2025
A la rencontre des communautés autochtones au Quai de la Photo

Photographe passionné, Franck Desplanques parcourt le monde depuis plus de trente ans à la rencontre decommunautés rares ayant gardé une forte identité culturelle et une relation étroite avec la nature.Leur liberté, leurs connaissances, leur courage, sont des sources d’inspiration inépuisables pour nous tous.C’est à travers une odyssée visuelle réunissant une centaine de photographies que Franck Desplanquescherche à dépasser les critères de la photographie documentaire classique pour offrir une autre visionde ces communautés. Franck Desplanques nous propose une véritable immersion dans leur quotidien et leur mode de pensée. Son travail à la fois documentaire et artistique, nous invite à élargir notre regard et à penser le monde avec plus d’humanité. Ne manquez pas ces photos sur l’Indonésie! Plus d’infos : https://quaidelaphoto.fr/wp-content/uploads/2024/12/DP-FRANCKDESPLANQUES-1.pdf Jusqu’au 28/02
Galerie Clémentine de la Féronière : Grain of Light

L’artiste japonais Mikiya Takimoto a réalisé des photographies saisissantes de la mer prise depuis le sommet d’une falaise en Indonésie ! Remarquable de justesse, à voir absolument! Jusqu’au 15 Mars 2025 https://www.galerieclementinedelaferonniere.fr/exhibitions/53/works/artworks-441-mikiya-takimoto-grain-of-light-06-2013
The Kebaya: Elegance and Cultural Heritage in Southeast Asia

La kebaya est une blouse traditionnelle dont les origines remontent à l’Empire Majapahit en Indonésie. Elle est portée par les femmes en Indonésie, Brunei, Malaisie et par les Malais de Singapour, généralement associée à un kain en batik, un sarong ou un songket, reflétant ainsi le riche patrimoine textile de la région. Au fil du temps, la kebaya est devenue bien plus qu’un simple vêtement : elle symbolise l’élégance, la grâce et l’identité culturelle des femmes d’Asie du Sud-Est. Chaque pays et communauté a su adapter la kebaya à ses traditions locales, en variant les tissus, les broderies et les motifs pour refléter son propre héritage. Portée lors d’événements officiels, de cérémonies traditionnelles ou même dans la vie quotidienne, elle reste un élément incontournable du patrimoine vestimentaire de la région. Aujourd’hui, la kebaya fait l’objet de campagnes de reconnaissance auprès de l’UNESCO pour être inscrite au patrimoine culturel immatériel, affirmant ainsi son importance historique et culturelle. Alliant tradition et modernité, la kebaya continue d’évoluer, inspirant les créateurs de mode tout en préservant son essence authentique. Elle demeure un témoignage vivant du savoir-faire artisanal et de l’héritage multiculturel de l’Asie du Sud-Est.
Troubadour comorien : Ben Nodji ‘Toujours là’ au Connétable

Notre troubadour comorien a pour citation favorite « Vivre c’est aimer » de l’écrivain Paul Valery. L’amour chez Ben Nodji s’écrit avec un grand A. Il chante régulièrement dans les bars de Paris (mais pas que), chante en province, en Belgique. Ses chansons les plus connues ? « Belle dans sa robe », « Cissoko », « Rien n’est écrit d’avance ». Notre troubadour comorien a pour citation favorite « Vivre c’est aimer » de l’écrivain Paul Valery. L’amour chez Ben Nodji s’écrit avec un grand A. Amour des femmes, amour des gens, amour du public, amour de l’Art et du partage (on pense à sa chanson « Fraternité », dont le texte fut écrit par Claude Lemesle), amour de la Vie, tout simplement. Et c’est à un moment de vie qu’il nous convie le 26 février au célèbre lieu chanson le Connétable.
Goulam en concert à Paris

sam. 3 mai 2025 à la Cigale 20:00 Né sur l’île d’Anjouan aux Comores, Goulam emprunte ses influences des quatre coins du monde depuis son plus jeune âge. C’est à 7 ans que l’artiste commence l’apprentissage du piano parallèlement aux rythmes et chants traditionnels des Comores. À l’adolescence, il s’ouvre à la guitare, puis à la batterie et enregistre ses toutes premières compositions solo. En 2007, Goulam décide de s’installer en France, baccalauréat en poche. Diplômé par la suite d’un master en développement informatique, il se consacre à sa passion et enrichit son univers musical, développe son écriture et sa voix. Plus d’infos et places sur : https://lacigale.fr/evenements/goulam/
La Réunion : Exposition Papirklip de Térésa Small à Saint Denis

L’exposition présente des oeuvres récentes ou rarement exposées de Térésa Small, Christiane Fath et Migline Paroumanou. Entre peinture, dessin, broderie et céramique, les oeuvres réinventent les trajectoires familiales et tissent de nouveaux mythes. Les artistes explorent la magie, le tragique et le merveilleux, offrant une réflexion sur les blessures du passé et les possibilités de réconciliation. Les oeuvres brodées de Térésa Small s’inspirent des contes, de l’opéra et de la poésie, convoquant l’imaginaire de l’enfance dans ses dimensions magiques et tragiques. Térésa Small, plasticienne et brodeuse, crée des oeuvres textiles qui font appel au sensible et à l’indicible, avec des influences géographiques variées. L’exposition est accessible gratuitement du mardi au samedi, de 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h, sauf les dimanches, jours fériés, et lors de certaines privatisations. Plus d’infos : http://www.citedesarts.re/Teresa-Small-1344