TOURISMER-ASSO

L’art de convaincre au service des océans – Retour sur la finale du Concours d’Éloquence 2025

Le 19 juin dernier, l’ambassade d’Australie a accueilli la grande finale du Concours d’Éloquence 2025, organisé dans le cadre de l’Initiative Culturelle France-Australie. Les finalistes ont captivé l’audience en prenant la parole avec talent et conviction sur le thème « L’art et les océans », devant un jury d’exception présidé par Lynette Wood, Ambassadrice d’Australie en France, et composé de Claire Barbillon, Directrice de l’École du Louvre, et Magali Melandri, responsable des collections Océanie au musée du quai Branly. Félicitations à Louise Adam De Villiers, étudiante de l’École du Louvre, qui s’est distinguée par la finesse de sa réflexion, la qualité de son expression et son engagement artistique. Elle remporte un voyage en Australie à la rencontre de professionnels du monde de l’art.   Source : https://www.facebook.com/AustralieEnFrance?locale=fr_FR

“Paris-Seychelles” une chanson pour s’évader…

Le thème de l’évasion est omniprésent dans la chanson « Paris-Seychelles ». Julien Doré explore à travers ses paroles un désir ardent de quitter le quotidien pour des horizons plus lumineux. Les Seychelles représentent un idéal d’évasion, en contraste avec la complexité de la vie parisienne moderne… Plus d’infos sur : https://www.pausemusicale.com/genres-musicaux/julien-dore-pourquoi-paris-seychelles-nest-pas-une-chanson-damour/

Plongée dans les arts classiques de l’Inde : Masterclass de Bharatanatyam à Paris avec Shijith N. & Parvathy

Les 21 et 22 juin, Paris accueille un événement exceptionnel dédié à la danse classique indienne : une masterclass de Bharatanatyam animée par le duo renommé Shijith N. & Parvathy. Véritables ambassadeurs des arts traditionnels du sud de l’Inde, leur pédagogie allie rigueur, émotion et transmission vivante du patrimoine chorégraphique millénaire. Au cœur du Studio Bleu, cette rencontre s’adresse à tous ceux et celles qui souhaitent approfondir leur connaissance de cet art raffiné où se mêlent rythme, narration, et spiritualité. Étudiants, passionnés, enseignants ou simples curieux : venez explorer l’élégance et la profondeur du Bharatanatyam aux côtés de deux maîtres reconnus internationalement. Plus d’information: https://indoeuropean.eu/bharatanatyam-master-class-in-paris-with-shujith-n-parvathy-on-21st-22nd-june/

La France et le Qatar renforcent leur coopération culturelle

La diplomatie culturelle entre la France et le Qatar a franchi une nouvelle étape significative en avril dernier à Doha. À l’occasion de la visite de la ministre française de la Culture, Rachida Dati, six accords-cadre ont été signés entre des institutions culturelles françaises et qatariennes, marquant une volonté commune de renforcer les liens entre les deux pays à travers les arts, le cinéma, la formation et le patrimoine. Parmi ces accords, figure un partenariat entre les musées d’Orsay et de l’Orangerie et Qatar Museums, incluant des prêts réciproques d’œuvres d’art. Le musée Guimet s’est également associé à Qatar Museums dans une dynamique similaire. Un autre accord, signé avec le ministère français de la Culture, prévoit le développement de programmes de formation professionnelle, notamment en lien avec les Manufactures nationales et l’école de cinéma La Fémis. Dans le domaine du cinéma, un partenariat entre le Doha Film Institute et le Centre national du cinéma et de l’image animée vise à encourager les coproductions franco-qatariennes. Un protocole d’accord a aussi été conclu entre la Bibliothèque nationale du Qatar et la Bibliothèque nationale de France pour favoriser la recherche et la valorisation des collections patrimoniales. Ces initiatives s’inscrivent dans la continuité de la visite d’État de l’Émir du Qatar, Cheikh Tamim bin Hamad Al Thani, en France en février 2024. Elles témoignent d’un dialogue culturel riche, ancré dans une relation de confiance mutuelle et d’ambitions partagées. Les premières actions concrètes issues de ces accords devraient voir le jour dans les mois à venir.   Source: https://www.lefigaro.fr/flash-actu/la-france-et-le-qatar-concretisent-des-partenariats-entre-institutions-culturelles-20250421

Découvrez AMAMOZ : un lien vivant entre la France et le Mozambique

L’Association des Mozambicains et Amis du Mozambique en France (AMAMOZ) œuvre pour rapprocher les cultures, renforcer la solidarité entre Mozambicains vivant en France et faire rayonner la richesse culturelle du Mozambique à travers des événements variés : concerts, expositions, projections, rencontres… Envie d’en savoir plus, de participer ou de soutenir leurs actions ? Visitez leur site et plongez dans l’univers  du Mozambique en France !

Le Xeedho, premier patrimoine immatériel de Djibouti inscrit à l’UNESCO

Le Xeedho, plat traditionnel somali offert lors des mariages, est devenu le premier élément du patrimoine culturel immatériel de Djibouti inscrit sur la liste de l’UNESCO. Cette reconnaissance, annoncée le 5 décembre 2023, marque une étape majeure dans la valorisation de la culture djiboutienne. Symbole de solidarité familiale, le Xeedho est menacé par la disparition progressive des savoir-faire traditionnels. Consciente de cet enjeu, Djibouti a lancé des initiatives de transmission et de sensibilisation, soutenues par l’UNESCO, notamment la formation de jeunes filles et d’enseignants. L’inscription du Xeedho célèbre non seulement un héritage national, mais contribue aussi à la promotion de la diversité culturelle et de la paix entre les peuples.   Lire plus : https://www.unesco.org/fr/articles/le-xeedho-premier-tresor-culturel-immateriel-de-la-republique-de-djibouti-etre-inscrit-sur-la-liste

Musique des Comores – CMB – Festival MDM 2025

Le 12 juillet 2025 à 10:30 Rue des Halles – 79600 AIRVAULT Le groupe CMB, musiques et chants des Comores, de Bressuire a été créé en 2020, mais le groupe jouait surtout pour sa communauté. En 2023, à l’occasion de la Fête de la musique, ils ont franchi le pas et seront présents en 2025 au Festival.Ce festival est une rencontre culturelle avec une programmation très éclectique.Échanges, partages… voilà comment peut se traduire le festival MDM avec des spectacles qui s’installent pour des apéro-concerts gratuits tous les soirs sur le domaine de Soulièvres. Un festival qui nous offre 8 jours de festivités dépaysantes sur Airvault et ses alentours.

Michel Saint Lambert, un artiste de La Réunion, offre une interprétation du passé chargé d’émotion.

Les œuvres de l’artiste Michel Saint-Lambert sont exposées aux galeries Nocogo et La PhARTmacie à La Chartre-sur-le-Loir (Sarthe), jusqu’au 29 juin 2025. Michel Saint Lambert, un artiste de La Réunion, offre une interprétation du passé enregistré à travers un prisme chargé d’émotion. En tant qu’Enfant « déplacé », il confère à son exploration une dimension introspective. Dans ses travaux, cette question du transfert d’enfants réunionnais en métropole retrouve la dimension émotionnelle qui a tendance à disparaître dans les écrits plus objectifs. L’art de la peinture lui offre la possibilité d’humaniser des événements significatifs de l’histoire. Son style de langage est diamétralement opposé à celui de la description journalistique. C’est un évocateur, chargé de subjectivité. C’est une langue du souvenir qui, à travers la répétition, prend une dimension thérapeutique. Plutôt que de céder à l’intellectualisme, Saint Lambert opte pour l’émotion qui transparaît dans ses mouvements instinctifs. Il a métamorphosé les journaux en pièces d’art, assurant leur pérennité tout en revitalisant l’esprit des Surréalistes et autres figures emblématiques de la peinture du début du XXe siècle, à l’instar de Picasso ou Matisse…

Le Dhoni : le bateau traditionnel des Maldives

Le dhoni traditionnel figure parmi les plus anciens bateaux marins identifiés aux Maldives. L’origine du terme remonte au kannada / télougou Doni, qui est très similaire au dōnī signifiant « yacht » en persan[2]. En tamoul, le terme pour un petit bateau est ‘doni’, tandis qu’en kannada et konkani, c’est ‘doni’. En malayalam, un petit bateau est appelé ‘tuoni’. L’apparence du vaisseau rappelle une ressemblance avec le dhow traditionnel arabe, également connu sous le nom de boutre. Cette analogie suggère des interactions entre les Arabes et les habitants de l’Asie (les Konkanis à Goa ainsi que d’autres cités maritimes de la région du Konkan et du sud-ouest de l’Inde). Les dhonis étaient traditionnellement fabriqués à la main, avec du bois de cocotier d’abord puis d’autres bois importés d’Asie continentale. Les dhonis étaient construits sans plans, le maître charpentier donnant des instructions directement aux menuisiers. Le site principal pour la construction des dhonis se trouve à Alifushi, dans l’atoll de Raa. La construction de dhoni est un artisanat traditionnel aux Maldives, et les jeunes apprentis sont formés par des artisans qualifiés. Les bateaux fabriqués à partir de bois prennent 60 jours à construire. La description apportée par François Edmond Pâris ( Essai sur la construction navales des peuples extra européens en 1841) est un témoignage précis, où il détaille par exemple les différences entre les dhônis observés sur la côte de Coromandel et les dhônis observés sur la côte de Ceylan, dotés d’un balancier. Ces textes sont accompagnés de plans et de représentations, qui servirent par la suite de référence pour la réalisation de maquettes, aujourd’hui conservées au Musée de la Marine à Paris

Unis pour l’océan : les pays de l’Océan Indien font entendre leur voix à Nice

À l’occasion de la Conférence des Nations Unies sur l’Océan (UNOC3) à Nice, Madagascar, les Comores, les Seychelles et l’île Maurice affichent une mobilisation exemplaire. Face aux enjeux environnementaux et maritimes cruciaux, ces nations de l’Océan Indien unissent leurs voix pour défendre un avenir durable. TOURISMER Association salue cette dynamique collective, convaincue que la valorisation des richesses océaniques et culturelles est la clé du développement régional. ➡️ À lire ICI